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Selon une étude publiée par l'assureur anglais Legal & General, les réseaux sociaux tels que Facebook ou Twitter sont une véritable mine d'or pour les cambrioleurs. Dates de départ en vacances, photographies des intérieurs de leurs maisons et adresses de leurs domiciles, les internautes fournissent eux-mêmes toutes les informations utiles aux cambrioleurs...
La compagnie d'assurances Legal & General a commandé, auprès de l'institut Opinion Matters, une étude sur la façon dont les internautes partagent des informations personnelles sur les réseaux sociaux.
Baptisée "The Digital Criminal", cette étude révèle que 38 % des internautes publient des informations sur leurs vacances à venir sans savoir qu'ils fournissent aux cambrioleurs un véritable catalogue en ligne. Mais le véritable problème réside dans la facilité avec laquelle les utilisateurs de Facebook ou Twitter acceptent de devenir "amis" avec des personnes qu'ils connaissent à peine, voire pas du tout.
L'étude indique en effet que 18 % des usagers de Facebook acceptent de parfaits inconnus comme amis. Sur Twitter, c'est encore pire puisqu'ils sont 92% à avoir autorisé les enquêteurs d'Opinion Matters à suivre les messages qu'ils publient.
"Il ne fait absolument aucun doute que les cambrioleurs utilisent les réseaux sociaux pour identifier des cibles potentielles. Ils apprennent à en savoir davantage sur leurs futures victimes, sur ce qu'elles sont susceptibles de posséder et quand elles sont hors de la maison" prévient Michael Fraser, un ancien cambrioleur repenti qui a participé à cette étude. Et de conclure : "J'appelle cela l'achat en ligne des cambrioleurs".
La compagnie d'assurances Legal & General a commandé, auprès de l'institut Opinion Matters, une étude sur la façon dont les internautes partagent des informations personnelles sur les réseaux sociaux.
Baptisée "The Digital Criminal", cette étude révèle que 38 % des internautes publient des informations sur leurs vacances à venir sans savoir qu'ils fournissent aux cambrioleurs un véritable catalogue en ligne. Mais le véritable problème réside dans la facilité avec laquelle les utilisateurs de Facebook ou Twitter acceptent de devenir "amis" avec des personnes qu'ils connaissent à peine, voire pas du tout.
L'étude indique en effet que 18 % des usagers de Facebook acceptent de parfaits inconnus comme amis. Sur Twitter, c'est encore pire puisqu'ils sont 92% à avoir autorisé les enquêteurs d'Opinion Matters à suivre les messages qu'ils publient.
"Il ne fait absolument aucun doute que les cambrioleurs utilisent les réseaux sociaux pour identifier des cibles potentielles. Ils apprennent à en savoir davantage sur leurs futures victimes, sur ce qu'elles sont susceptibles de posséder et quand elles sont hors de la maison" prévient Michael Fraser, un ancien cambrioleur repenti qui a participé à cette étude. Et de conclure : "J'appelle cela l'achat en ligne des cambrioleurs".