-
Usages licites du cannabis. 2.905 autorisations délivrées jusqu’au 23 avril courant
-
Interpellation d'un individu pour atteinte aux systèmes de traitement automatisé des données numériques
-
Un grand pas vers la protection collective
-
Baisser de rideau sur le Forum de l’étudiant à Casablanca
-
Les Ombudsmans et les Médiateurs, des instances centrales garantissant aux enfants la jouissance de tous les droits fondamentaux
130 personnes ont bénéficié samedi dernier, d'une caravane médicale organisée à Tata, par la Fondation Mohammed VI pour la promotion des œuvres sociales de l’éducation-formation au profit des adhérents et leur ayants droit.
Cette caravane comprenait des examens médicaux liés aux maladies cardio-vasculaires, ophtalmologiques et des cancers fréquents chez les femmes, indique un responsable de la fondation.
En organisant cette initiative, la fondation souhaite consacrer le principe des services de proximité et éclairer la famille de l’éducation et la formation sur les activités et les domaines d’intervention de cette institution.
Cette caravane a été aussi l’occasion de faire connaître la chaîne "Manarat", une radio électronique dédiée à la famille de l’éducation.
Arrestation
Des éléments de la brigade de recherches et d'interventions relevant de la préfecture de police de Meknès ont été contraints, dimanche matin, de brandir leurs armes de service, sans en faire usage, pour arrêter un multirécidiviste qui était dans un état d'ébriété avancé et qui exposait des agents de police et des citoyens à une grave agression à l'arme blanche.
Un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) indique qu'une patrouille de police était intervenue pour appréhender le suspect, qui fait l'objet d'un avis de recherche national et qui s'en prenait aux passants, précisant que cet individu de forte impulsivité a agressé trois personnes à l'arme blanche dans le quartier Al-Atlas et blessé deux fonctionnaires de police alors qu'ils tentaient de l'arrêter.
Face à cette situation, deux brigadiers-chefs de la patrouille ont été contraints de brandir leurs armes de service pour maîtriser le mis en cause (21 ans) et saisir son arme blanche.
Le prévenu a été placé en garde à vue à la disposition de l’enquête judiciaire que mène le service préfectoral de la police judiciaire, sous la supervision du parquet compétent, en vue de déterminer tous les actes criminels qui sont reprochés au mis en cause, conclut le communiqué.