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Par ailleurs, en ce qui concerne l’accompagnement prévu pour les entreprises des filières structurées, il sera question, a-t-on annoncé, de la promotion de l’investissement dans le secteur (offres d’installation); d’un accès plus aisé au foncier (développement du foncier locatif avec des tarifs attractifs) ;de la formation de profils spécialisés et adaptés aux besoins du secteur ; du développement de l’intégration locale moyennant des primes; de l’amélioration de la compétitivité logistique du secteur et de la mise en place de solutions de financement adaptées.
Et de relever, en outre, qu’en contrepartie de ces aides, le GIMAS se doit, en plus de l’engagement pris à réaliser les objectifs précités en termes de création d’emplois, de valeur ajoutée et d’exportations, de sensibiliser les industriels à l’opportunité d’intégrer plus nombreux les écosystèmes du secteur, d’accompagner le développement d’une Supplie Chain aéronautique performante et d’accompagner 20 porteurs de projets et TPME sur la période 2015-2020 à travers, notamment, l’engagement de grands donneurs d’ordre à s’approvisionner auprès de ces TPME.
Quoi qu’il en soit, l’occasion était propice pour rappeler qu’au cours de la dernière décennie, le Maroc compte un nombre d’implantations dans le secteur aéronautique qui s’est fortement accru avec plus de 100 entreprises installées en seulement 12 ans. Celles-ci, précise-t-on, emploient plus de 11.000 jeunes et ont réalisé en 2014 près d’un milliard de dollars de CA, soit 4,5% des exportations du Royaume contre 1% il y a 10 ans.









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