
Le rideau est tombé samedi soir sur le 6ème Festival Ciné-Plage Harhoura, avec le film "Mon Père n’est pas mort" d’Adil El Fadili qui s'est adjugé le Grand Prix de cette manifestation culturelle.
La cérémonie de clôture de cet événement, initié par l'Association marocaine des arts sans frontières (AMAF), en partenariat avec la Commune de Harhoura et le Centre cinématographique marocain (CCM) a été également ponctuée de moments forts.
La soirée artistique s’est ainsi brillamment terminée avec la projection du film hors compétition "Nostalgia Beach" de Chakir Achhbar, racontant l’histoire d’Amine qui, suite à un accident domestique, perd sa mémoire et sa parole, devenant dépendant de sa femme Ouafae et de sa fille Lina, avant de rencontrer Inas, une belle et mystérieuse jeune femme dont il réussit à prononcer le nom.
Lors de cette cérémonie de clôture, le Prix de la réalisation a été par ailleurs attribué à "Que d’amour" de Kamal Kamal, alors que le Prix de la meilleure interprétation féminine a été remporté par l’actrice Fatima Ezzahra Baladi ("Jalalddine" de Hassan Benjelloun) et le Prix de la meilleure interprétation masculine est revenu à l’acteur Adil Abatourab ("Le verre de l’amitié" de Noufel Berraoui).
S’exprimant à cette occasion, le président du Festival, Abdelouahed Mjahed, est revenu sur les principales étapes ayant marqué cette 6e édition, permettant aux cinéphiles et au grand public de découvrir une large variété de films autour de l’écran géant de la plage de Sidi Abed et d’aller à la rencontre de professionnels du 7e art.
Pour sa part, le président de la Commune de Harhoura, Mohamed Lakhrif, a souligné l’originalité de cet événement artistique déroulé en bord de plage.
A cette occasion, un hommage appuyé a été rendu à l’actrice marocaine Nadia Nyazi, en reconnaissance de son prestigieux parcours, caractérisé par ses saisissantes interprétations dans de célèbres réalisations cinématographiques nationales et internationales.
Outre Nadia Nyazi, le 6e Festival Ciné-Plage Harhoura a rendu hommage à l’actrice Saadia Ladib ainsi qu’à l’acteur et réalisateur Hamid Zoghi.
Présidé par le réalisateur et producteur Mohamed Abderrahmane Tazi, le jury de cette édition a été composé du réalisateur Aziz Salmi, de l’acteur et compositeur Younes Migri, de l’actrice et réalisatrice Latifa Ahrar, ainsi que de l’actrice Bouchra Ahrich.
Organisée du 26 au 30 août, cette manifestation culturelle a constitué une occasion idoine pour mettre en avant la qualité des réalisations cinématographiques nationales et la richesse du 7e Art marocain à travers des projections, des master class, ou encore des ateliers et des débats.
De son côté, le Palais de la culture abritera une exposition photographique dédiée au défunt Mohamed Benaïssa, ainsi qu’une exposition collective des créations des enfants talents du moussem.
Dans le cadre des activités de la session d’automne, il sera procédé à la signature de plusieurs ouvrages, à savoir "Le voyage du pèlerinage sur les traces de l’aïeul" de l’écrivain et journaliste mauritanien Abdallah Ould Mohamedi (28 septembre), "Le rêve dans le ventre de la baleine" de l’écrivain marocain Mohamed Saâd Alami (4 octobre), et "Awal annisyane" de l’écrivain marocain Mohamed El Maazouz (11 octobre).
La cérémonie de clôture de cet événement, initié par l'Association marocaine des arts sans frontières (AMAF), en partenariat avec la Commune de Harhoura et le Centre cinématographique marocain (CCM) a été également ponctuée de moments forts.
La soirée artistique s’est ainsi brillamment terminée avec la projection du film hors compétition "Nostalgia Beach" de Chakir Achhbar, racontant l’histoire d’Amine qui, suite à un accident domestique, perd sa mémoire et sa parole, devenant dépendant de sa femme Ouafae et de sa fille Lina, avant de rencontrer Inas, une belle et mystérieuse jeune femme dont il réussit à prononcer le nom.
Lors de cette cérémonie de clôture, le Prix de la réalisation a été par ailleurs attribué à "Que d’amour" de Kamal Kamal, alors que le Prix de la meilleure interprétation féminine a été remporté par l’actrice Fatima Ezzahra Baladi ("Jalalddine" de Hassan Benjelloun) et le Prix de la meilleure interprétation masculine est revenu à l’acteur Adil Abatourab ("Le verre de l’amitié" de Noufel Berraoui).
S’exprimant à cette occasion, le président du Festival, Abdelouahed Mjahed, est revenu sur les principales étapes ayant marqué cette 6e édition, permettant aux cinéphiles et au grand public de découvrir une large variété de films autour de l’écran géant de la plage de Sidi Abed et d’aller à la rencontre de professionnels du 7e art.
Pour sa part, le président de la Commune de Harhoura, Mohamed Lakhrif, a souligné l’originalité de cet événement artistique déroulé en bord de plage.
A cette occasion, un hommage appuyé a été rendu à l’actrice marocaine Nadia Nyazi, en reconnaissance de son prestigieux parcours, caractérisé par ses saisissantes interprétations dans de célèbres réalisations cinématographiques nationales et internationales.
Outre Nadia Nyazi, le 6e Festival Ciné-Plage Harhoura a rendu hommage à l’actrice Saadia Ladib ainsi qu’à l’acteur et réalisateur Hamid Zoghi.
Présidé par le réalisateur et producteur Mohamed Abderrahmane Tazi, le jury de cette édition a été composé du réalisateur Aziz Salmi, de l’acteur et compositeur Younes Migri, de l’actrice et réalisatrice Latifa Ahrar, ainsi que de l’actrice Bouchra Ahrich.
Organisée du 26 au 30 août, cette manifestation culturelle a constitué une occasion idoine pour mettre en avant la qualité des réalisations cinématographiques nationales et la richesse du 7e Art marocain à travers des projections, des master class, ou encore des ateliers et des débats.
De son côté, le Palais de la culture abritera une exposition photographique dédiée au défunt Mohamed Benaïssa, ainsi qu’une exposition collective des créations des enfants talents du moussem.
Dans le cadre des activités de la session d’automne, il sera procédé à la signature de plusieurs ouvrages, à savoir "Le voyage du pèlerinage sur les traces de l’aïeul" de l’écrivain et journaliste mauritanien Abdallah Ould Mohamedi (28 septembre), "Le rêve dans le ventre de la baleine" de l’écrivain marocain Mohamed Saâd Alami (4 octobre), et "Awal annisyane" de l’écrivain marocain Mohamed El Maazouz (11 octobre).