-
AFIS Awards 2025 : La finance marocaine à l'honneur avec M. Jouahri et M. El Kettani distingués
-
Le PDG de la RAM appelle à bâtir un écosystème aérien arabe résilient, responsable et compétitif
-
Le marché du travail reste miné par le sous-emploi et la baisse de l’activité
-
Samira Khamlichi : les lois de parité et la transparence salariale, leviers pour améliorer la représentation féminine
-
Cheick-Oumar Sylla : l’IFC aide les entreprises marocaines à renforcer leur empreinte dans la région
Dans l'industrie manufacturière, l'indicateur a augmenté d'un point, à 103, après une hausse de deux points en juillet, alors que les économistes l'attendaient en moyenne en baisse d'un point. C'est son plus haut niveau depuis juillet 2011. Dans les services, l'indicateur a progressé de deux points, à 99, son plus haut niveau depuis août 2011, après une hausse de deux points en juillet. L'indicateur a légèrement progressé dans le bâtiment, tout en restant à un niveau bas, et il a légèrement baissé dans le commerce de détail. L'indicateur de retournement pour l'ensemble de l'économie est dans la zone indiquant une situation conjoncturelle favorable, souligne l'Insee.
"Les enquêtes (...) témoignent d'une poursuite de la reprise : le climat des affaires est au plus haut depuis quatre ans et la reprise se diffuse dans l'économie", s'est réjoui le ministre des Finances, Michel Sapin.
"Ceci reflète bien le fait que la stabilité de l'activité au deuxième trimestre a été clairement temporaire", a-t-il ajouté. "Ces enquêtes confortent notre prévision de croissance de 1% en 2015, avec des créations d'emploi qui redémarrent progressivement."
Tullia Bucco, économiste chez UniCredit, estime elle aussi que ces indicateurs montrent que la stagnation de l'économie au deuxième trimestre n'est que le résultat de la volatilité "dans une tendance à l'amélioration de l'activité économique".









Le marché du travail reste miné par le sous-emploi et la baisse de l’activité
