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Jamais, au grand jamais, notre pays ne s’est donné autant, à l’environnement qu’en ces dernières semaines. COP22 oblige, il n’est pas un jour que Dieu fait où au moins une dizaine de conférences, colloques, séminaires sur la question des éléments naturels et culturels qui nous entourent en tant qu’êtres vivants et leurs dérivés ne soient organisés à travers le Royaume.
A tire-larigot donc, des ‘’réunionites’’ aux thèmes criards et dépassant largement le cadre de l’entreprise, nous sont contées çà et là, afin de débattre du climat dans tous ses états. Et dans la continuité de Paris, vas-y que je t’en définisse des objectifs pour le Marrakech de demain. A coups de causeries illuminées, expertes, politicardes et autres, l’impact du changement climatique est trempé à toutes les sauces. Dans le panier et en avant, le côté néfaste de la chose (catas et autre tragédies des temps modernes). Une des recommandations principales face au fléau, l’adaptation à un phénomène irréversible causé par la main de l’homme.
Mais bof ! Pour celle-là, il n’y avait pas besoin d’user ses fonds de culottes savamment sur les bancs et de connaître sur le bout des doigts, les lois et les forces de l'univers pour nous la sortir. Depuis la nuit des temps, c’est justement cette faculté d’adaptation qui a fait que le mammifère d’ordre primate que l’homme est, en ait survécu à bien d’autres.
Nulle intention ici, de dévaloriser les enjeux cruciaux que sont l’eau et sa gestion, l’agriculture, ses pratiques, ses ajustements face aux menaces des caprices climatiques, la demande alimentaire sans cesse croissante, les mobilisations et contributions en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), les objectifs à 100% d’énergies renouvelables d’ici 2050, et tant d’autres projets gravitant autour du climat et de son dérèglement car ils sont autant d’efforts louables.
Cependant, l’intérêt de manière subite porté à travers des conférences et autres blablas de grande envergure sur l’environnement nous interpelle. Cette frénésie est-elle un lien de cause à effet ? Ou bien alors c’est l’organisation de l’événement qu’est la COP22 qui booste nos tribuns au point de donner au public cette abondance de parlote? Envie de dire ‘’pourvu que ça continue’’ enfin, après … Marrakech.
En attendant, ce sont nous, gens du Sud, moins responsables que ceux du Nord dans ce dérèglement climatique qui en souffrons. Dans un demi-siècle, c’est un demi-milliard d’individus de plus en cette contrée qui souffriront de faim.
A tire-larigot donc, des ‘’réunionites’’ aux thèmes criards et dépassant largement le cadre de l’entreprise, nous sont contées çà et là, afin de débattre du climat dans tous ses états. Et dans la continuité de Paris, vas-y que je t’en définisse des objectifs pour le Marrakech de demain. A coups de causeries illuminées, expertes, politicardes et autres, l’impact du changement climatique est trempé à toutes les sauces. Dans le panier et en avant, le côté néfaste de la chose (catas et autre tragédies des temps modernes). Une des recommandations principales face au fléau, l’adaptation à un phénomène irréversible causé par la main de l’homme.
Mais bof ! Pour celle-là, il n’y avait pas besoin d’user ses fonds de culottes savamment sur les bancs et de connaître sur le bout des doigts, les lois et les forces de l'univers pour nous la sortir. Depuis la nuit des temps, c’est justement cette faculté d’adaptation qui a fait que le mammifère d’ordre primate que l’homme est, en ait survécu à bien d’autres.
Nulle intention ici, de dévaloriser les enjeux cruciaux que sont l’eau et sa gestion, l’agriculture, ses pratiques, ses ajustements face aux menaces des caprices climatiques, la demande alimentaire sans cesse croissante, les mobilisations et contributions en matière de réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES), les objectifs à 100% d’énergies renouvelables d’ici 2050, et tant d’autres projets gravitant autour du climat et de son dérèglement car ils sont autant d’efforts louables.
Cependant, l’intérêt de manière subite porté à travers des conférences et autres blablas de grande envergure sur l’environnement nous interpelle. Cette frénésie est-elle un lien de cause à effet ? Ou bien alors c’est l’organisation de l’événement qu’est la COP22 qui booste nos tribuns au point de donner au public cette abondance de parlote? Envie de dire ‘’pourvu que ça continue’’ enfin, après … Marrakech.
En attendant, ce sont nous, gens du Sud, moins responsables que ceux du Nord dans ce dérèglement climatique qui en souffrons. Dans un demi-siècle, c’est un demi-milliard d’individus de plus en cette contrée qui souffriront de faim.