-
Vague de chaleur de mardi à vendredi dans plusieurs provinces du Royaume
-
Ouverture à Al-Hoceima d'une enquête judiciaire suite à une tentative de trafic de plus de cinq tonnes de chira
-
Service militaire. Critères d'établissement des listes de conscrits du prochain contingent
-
Tétouan: Ouverture d'une Conférence sur les villes intelligentes méditerranéennes
-
Mise en lumière de l'importance de relever les défis de la santé au travail afin de répondre aux urgences sanitaires
Il s’agit d’Abdellatif Fedouach, membre du conseil national fédéral du SNPM, Mohamed Fajri, Mohamed Seliki, Othmane Erradouani et Rabia Errouaidi.
Les membres de la rédaction du quotidien arabophone réunis lundi dernier au siège local du SNPM à Casablanca, ont décidé de porter le brassard durant une semaine et de saisir la justice de ce déni de droit. Un sit-in auquel tous les journalistes ont été conviés, sera également organisé ce jeudi 24 mai à 16 heures 30 devant le siège du groupe sis Rue Othmane Ibnou Affane.
Le Syndicat national de la presse marocaine a, par ailleurs, décidé d’initier une campagne de dénonciation tant au niveau national qu’à l’étranger et d’ouvrir une campagne de souscription afin de venir en aide aux confrères victimes de ce licenciement abusif. Selon un communiqué rendu public par ce syndicat, les autres journalistes de ce titre auraient reçu des menaces de licenciement s’ils persévéraient à contester les décisions prises par leur direction générale consistant en des prélèvements équivalents à des demi-journées de travail sur les salaires des confrères qui seraient arrivés avec un retard égal ou supérieur à une demi-heure.
Ce mode de gestion des ressources humaines, rappelle-t-on, fait partie d’une stratégie de précarisation de plus en plus poussée du travail journalistique au sein de ce groupe de presse dont on se rappelle qu’il avait, lors de son rachat par un magnat saoudien, édité ses quotidiens grâce à une autorisation de parution spécialement délivrée aux journaux étrangers contenue dans le décret n° 2-04-159 du 18 mars 2004 tout en continuant à percevoir l’aide publique à laquelle seuls les journaux nationaux devaient avoir droit.