
Autres articles
-
Célébration de la Journée mondiale de la Protection civile
-
La PAHRC approuve la proposition marocaine de fusionner deux plans arabes de promotion des droits de l'Homme
-
Le CNDH réitère sa position pour l'abolition de la peine de mort
-
Marocains bloqués à Sète
-
Participation de l’Hôpital militaire d'instruction Mohammed V à une tournée mondiale de chirurgie holographique
Les éléments de la Brigade antigang relevant de la préfecture de police de Rabat ont interpellé, mardi, six individus, dont une femme et un mineur de 17 ans, pour leur implication présumée dans une affaire de confection et commercialisation de masques de protection ne répondant pas aux normes sanitaires exigées.
Les mis en cause ont été interpellés au niveau de la médina de Rabat en flagrant délit de possession et commercialisation de masques de protection industrialisés sans autorisation et ne répondant pas aux normes en vigueur dans le domaine médical et paramédical, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), faisant savoir que les perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de 548 faux masques de protection et de trois machines à coudre.
Le suspect mineur a été placé sous contrôle alors que les autres prévenus ont été placés en garde à vue à la disposition de l'enquête menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'élucider les tenants et aboutissants de cette affaire et déterminer l'ensemble des actes criminels qui leur sont reprochés, conclut le communiqué.
Pour leur part, les éléments de police relevant de la préfecture de sûreté de Meknès ont interpellé, mercredi, le propriétaire d'un magasin de couture, âgé de 50 ans, pour son implication présumée dans une affaire de fabrication et commercialisation de masques de protection ne répondant pas aux normes sanitaires.
Le mis en cause a été interpellé dans le cadre des opérations de contrôle sur le terrain effectuées par les forces publiques, après avoir été constaté qu'il exploitait son atelier de couture, situé dans l'ancienne Médina, pour confectionner des masques en utilisant des matières premières dépourvues des composants nécessaires pour assurer la protection contre l'infection par le coronavirus, dans le dessin de les écouler sur le marché local de manière illégale, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Les perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de 250 unités de ces masques ainsi que trois rouleaux de tissus utilisés dans cette activité qui constitue une menace pour la santé publique, selon la même source.
Le suspect a été placé en garde à vue à la disposition de l'enquête menée sous la supervision du parquet compétent, tandis que les opérations de sûreté se poursuivent sur le terrain pour lutter contre la commercialisation de toutes les marchandises et tous les produits de désinfection qui pourraient menacer la santé des consommateurs, conclut le communiqué.
Les mis en cause ont été interpellés au niveau de la médina de Rabat en flagrant délit de possession et commercialisation de masques de protection industrialisés sans autorisation et ne répondant pas aux normes en vigueur dans le domaine médical et paramédical, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), faisant savoir que les perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de 548 faux masques de protection et de trois machines à coudre.
Le suspect mineur a été placé sous contrôle alors que les autres prévenus ont été placés en garde à vue à la disposition de l'enquête menée sous la supervision du parquet compétent, en vue d'élucider les tenants et aboutissants de cette affaire et déterminer l'ensemble des actes criminels qui leur sont reprochés, conclut le communiqué.
Pour leur part, les éléments de police relevant de la préfecture de sûreté de Meknès ont interpellé, mercredi, le propriétaire d'un magasin de couture, âgé de 50 ans, pour son implication présumée dans une affaire de fabrication et commercialisation de masques de protection ne répondant pas aux normes sanitaires.
Le mis en cause a été interpellé dans le cadre des opérations de contrôle sur le terrain effectuées par les forces publiques, après avoir été constaté qu'il exploitait son atelier de couture, situé dans l'ancienne Médina, pour confectionner des masques en utilisant des matières premières dépourvues des composants nécessaires pour assurer la protection contre l'infection par le coronavirus, dans le dessin de les écouler sur le marché local de manière illégale, indique un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN).
Les perquisitions effectuées dans le cadre de cette affaire ont permis la saisie de 250 unités de ces masques ainsi que trois rouleaux de tissus utilisés dans cette activité qui constitue une menace pour la santé publique, selon la même source.
Le suspect a été placé en garde à vue à la disposition de l'enquête menée sous la supervision du parquet compétent, tandis que les opérations de sûreté se poursuivent sur le terrain pour lutter contre la commercialisation de toutes les marchandises et tous les produits de désinfection qui pourraient menacer la santé des consommateurs, conclut le communiqué.