-
A l’occasion de Aid Al Maoulid, Libération présente ses vœux déférents à Sa Majesté le Roi Mohammed VI, à la famille Royale, au peuple marocain et à l’ensemble de la Oumma islamique
-
Incendie au quartier général de la mission internationale au Darfour : Omar el Béchir attendu en Ethiopie
-
Le greffier du Tribunal spécial pour le Liban présente sa démission
-
Plusieurs pays occidentaux ne participent pas aux travaux : La conférence sur le racisme s’est ouverte sur fond de défections
-
L’amour aux temps de l’immigration : Lecture du film “Un fiancé pour Yasmina” d’Irène Cardona
Une demande d’extradition va être déposée prochainement auprès des autorités marocaines en vue de son rapatriement en France, a-t-on précisé de même source.
Né en 1954 à Lyon, Patrick Laurent avait été condamné par défaut en 2001 à Aix-en-Provence (sud de la France) à 10 ans d’emprisonnement pour association de malfaiteurs, trafic de stupéfiants et blanchiment, a-t-on indiqué.
L’enquête qui a conduit à son arrestation a duré environ un an et a été marquée par une “coopération étroite” entre les services français et la police judiciaire marocaine, a-t-on ajouté.
Selon cette source, Patrick Laurent a été interpellé à la terrasse d’un café du centre de Marrakech, une ville où il se rendait semble-t-il souvent. Il disposait d’ailleurs au Maroc d’un patrimoine immobilier “assez substantiel”.
Les circonstances de son arrestation ont été musclées: il a tenté de prendre la fuite et les policiers marocains l’ont interpellé au terme d’une course poursuite.
Patrick Laurent a dans un premier temps été conduit dans les locaux de la Brigade nationale de la police judiciaire (BNPJ) de Marrakech pour y être interrogé, a-t-on poursuivi de même source. Il aurait, depuis, été transféré à Casablanca.
Patrick Laurent se trouvait au Maroc sous une fausse identité et est donc sous le coup d’une procédure de faux et usage de faux dans ce pays.