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La 15ème édition du Festival international du film documentaire (FIDADOC) d’Agadir se tient, du 7 au 12 juin, au cinéma Sahara, situé en plein cœur du quartier Talborj, ont annoncé les organisateurs.
Initié par l’Association de culture et d'éducation par l'audiovisuel (ACEA), le FIDADOC est l'opportunité pour les cinéphiles gadiris et tous les passionnés du cinéma du réel au Maroc de découvrir sur grand écran le meilleur du cinéma documentaire international, à travers une vingtaine de films de la sélection officielle, en présence de leurs auteurs et de trois invitées exceptionnelles.
Cette année, le Festival rend hommage à la réalisatrice et directrice de la photographie américaine Kirsten Johnson, qui partagera son parcours et ses réflexions de cinéaste derrière la caméra, pour ses propres films et les plus grands documentaristes de son pays, indique la même source.
La réalisatrice et productrice serbe Mila Turajlic sera la marraine de la 12ème édition de la Ruche documentaire, le programme de formation et d'accompagnement artistique du FIDADOC qui, depuis 2012, contribue à l’émergence d'une nouvelle génération de cinéastes marocains et d'autres issus de pays africains.
Une opportunité pour les dizaines d’étudiants et apprentis cinéastes ainsi que pour les invités de découvrir son travail à travers les archives filmées sur l’histoire politique et intime de son pays natal aujourd’hui disparu, la Yougoslavie.
Enfin, la réalisatrice et productrice marocaine Asmae El Moudir reviendra à Agadir pour une projection en partenariat avec l’Institut français du Maroc de son deuxième long-métrage "La mère de tous les mensonges", primé l'an dernier aux Festivals de Cannes et de Marrakech, après avoir bénéficié en 2013 de la seconde édition de la résidence d’écriture panafricaine.
La sélection officielle de la 15ème édition de la première manifestation cinématographique marocaine consacrée au documentaire de création comprend 21 films originaires de 24 pays de production.
La compétition internationale du FIDADOC privilégie les auteurs émergents (premiers, deuxièmes et troisièmes films) et les travaux des cinéastes issus du continent africain.
La compétition internationale est composée de 11 longs-métrages inédits au Maroc. Son jury est composé de la cinéaste Anja Unger (France, Allemagne), de l’artiste Fatou Kande Senghor (Sénégal) et du journaliste Hicham Houdaifa (Maroc).
Outre la compétition internationale et les hommages à Kirsten Johnson et Mila Turajlic, la sélection officielle comprend un panorama de 3 films marocains qui, depuis plusieurs mois, connaissent une très belle carrière en festival mais aussi dans les salles, soulignant ainsi le potentiel de la diffusion des films documentaires dans le Royaume.
Initié par l’Association de culture et d'éducation par l'audiovisuel (ACEA), le FIDADOC est l'opportunité pour les cinéphiles gadiris et tous les passionnés du cinéma du réel au Maroc de découvrir sur grand écran le meilleur du cinéma documentaire international, à travers une vingtaine de films de la sélection officielle, en présence de leurs auteurs et de trois invitées exceptionnelles.
Cette année, le Festival rend hommage à la réalisatrice et directrice de la photographie américaine Kirsten Johnson, qui partagera son parcours et ses réflexions de cinéaste derrière la caméra, pour ses propres films et les plus grands documentaristes de son pays, indique la même source.
La réalisatrice et productrice serbe Mila Turajlic sera la marraine de la 12ème édition de la Ruche documentaire, le programme de formation et d'accompagnement artistique du FIDADOC qui, depuis 2012, contribue à l’émergence d'une nouvelle génération de cinéastes marocains et d'autres issus de pays africains.
Une opportunité pour les dizaines d’étudiants et apprentis cinéastes ainsi que pour les invités de découvrir son travail à travers les archives filmées sur l’histoire politique et intime de son pays natal aujourd’hui disparu, la Yougoslavie.
Enfin, la réalisatrice et productrice marocaine Asmae El Moudir reviendra à Agadir pour une projection en partenariat avec l’Institut français du Maroc de son deuxième long-métrage "La mère de tous les mensonges", primé l'an dernier aux Festivals de Cannes et de Marrakech, après avoir bénéficié en 2013 de la seconde édition de la résidence d’écriture panafricaine.
La sélection officielle de la 15ème édition de la première manifestation cinématographique marocaine consacrée au documentaire de création comprend 21 films originaires de 24 pays de production.
La compétition internationale du FIDADOC privilégie les auteurs émergents (premiers, deuxièmes et troisièmes films) et les travaux des cinéastes issus du continent africain.
La compétition internationale est composée de 11 longs-métrages inédits au Maroc. Son jury est composé de la cinéaste Anja Unger (France, Allemagne), de l’artiste Fatou Kande Senghor (Sénégal) et du journaliste Hicham Houdaifa (Maroc).
Outre la compétition internationale et les hommages à Kirsten Johnson et Mila Turajlic, la sélection officielle comprend un panorama de 3 films marocains qui, depuis plusieurs mois, connaissent une très belle carrière en festival mais aussi dans les salles, soulignant ainsi le potentiel de la diffusion des films documentaires dans le Royaume.
Bouillon de culture
Exposition
Le vernissage de l'exposition d’art plastique "A force de pinceau", a eu lieu mercredi soir à la galerie de l'Hôtel Diwan, avec un focus sur les univers artistiques de trois plasticiennes marocaines.
Cette exposition, qui se poursuit jusqu'au 30 juin, se veut un voyage dans trois mondes artistiques différents imaginés par Hind Hajouji, qui puise dans le surréaliste, Laila Salim à travers des tableaux frappant de photographie abstraite et Houda Zemmama, de l’école d'art abstrait contemporain.
"Il s'agit d'une exposition sélective visant à forger une synthèse artistique de trois expériences artistiques divergentes et à les rassembler dans un même espace, favorisant ainsi l'échange et l'intégration artistiques", a fait savoir Najoua Hassouni, la commissaire de l'exposition dans une déclaration à la MAP.
Pour sa part, Houda Zemmama a exprimé sa volonté d'enrichir cette exposition collective grâce à ses peintures, expliquant qu'elle adopte "un style purement abstrait à l’image d’un rêve, dont les détails rappellent l’au-delà de la conscience et de la réalité".
Laila Salim a, de son côté, indiqué que "les œuvres sélectionnées pour cette exposition représentent principalement des objets et des outils à caractère culturel, que nous utilisons dans notre vie quotidienne”, notant qu'elle cherche dans ses peintures à mettre en évidence la dimension esthétique de ces éléments dont l'image mentale collective est dominée par l'aspect utilitaire.
Pour sa part, Hind Hajjouji a relevé que cette exposition constitue une opportunité pour renouveler le rapport avec son univers artistique et donner un nouvel élan à son parcours artistique, ajoutant que son style transcende toutes les règles traditionnelles associées aux beaux-arts et se dégage de toutes les restrictions du réalisme dans ses toiles.
Le vernissage de l'exposition d’art plastique "A force de pinceau", a eu lieu mercredi soir à la galerie de l'Hôtel Diwan, avec un focus sur les univers artistiques de trois plasticiennes marocaines.
Cette exposition, qui se poursuit jusqu'au 30 juin, se veut un voyage dans trois mondes artistiques différents imaginés par Hind Hajouji, qui puise dans le surréaliste, Laila Salim à travers des tableaux frappant de photographie abstraite et Houda Zemmama, de l’école d'art abstrait contemporain.
"Il s'agit d'une exposition sélective visant à forger une synthèse artistique de trois expériences artistiques divergentes et à les rassembler dans un même espace, favorisant ainsi l'échange et l'intégration artistiques", a fait savoir Najoua Hassouni, la commissaire de l'exposition dans une déclaration à la MAP.
Pour sa part, Houda Zemmama a exprimé sa volonté d'enrichir cette exposition collective grâce à ses peintures, expliquant qu'elle adopte "un style purement abstrait à l’image d’un rêve, dont les détails rappellent l’au-delà de la conscience et de la réalité".
Laila Salim a, de son côté, indiqué que "les œuvres sélectionnées pour cette exposition représentent principalement des objets et des outils à caractère culturel, que nous utilisons dans notre vie quotidienne”, notant qu'elle cherche dans ses peintures à mettre en évidence la dimension esthétique de ces éléments dont l'image mentale collective est dominée par l'aspect utilitaire.
Pour sa part, Hind Hajjouji a relevé que cette exposition constitue une opportunité pour renouveler le rapport avec son univers artistique et donner un nouvel élan à son parcours artistique, ajoutant que son style transcende toutes les règles traditionnelles associées aux beaux-arts et se dégage de toutes les restrictions du réalisme dans ses toiles.