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Le silence radio de l’ONCF a permis aux rumeurs d’aller bon train. Certains ont accusés l’Office national de n’avoir pas réagi à des alertes données en amont par les passagers d’un autre train qui empruntait le même parcours et qui aurait été sur le point de dérailler. La publication d’un enregistrement audio mettant en scène des techniciens de l’ONCF a accrédité cette thèse, catégoriquement démentie par l’Office. Pour lui, le coupable n’est autre que le conducteur du train. Il n’aurait pas fait attention aux panneaux de signalisation et n’a pas adapté sa vitesse, alors que, lui, argue que les panneaux étaient hors service. En l’absence des enregistrements vidéo censés démêler le vrai du faux, le procès du conducteur en question traîne en longueur.