Les pouvoirs publics, qui ont le devoir de respecter les droits individuels et collectifs, ont également la responsabilité de veiller à la sécurité des biens et des personnes, une responsabilité que tous les pays démocratiques exercent par les moyens juridiques reconnus, a affirmé l’avocat Abdelkebir Tabih.
Lorsque l’usage des droits se fait au détriment des intérêts de la société et nuit aux droits des individus et de la collectivité, l’intervention des pouvoirs publics devient non seulement nécessaire mais relève des devoirs de ces mêmes autorités, a-t-il ajouté dans une déclaration mardi soir à la MAP, en réaction aux actes de vandalisme qui émaillent certains matches de football.
L’avocat a déploré le fait que certains exploitent l’ouverture de l’Etat sur la société en la reconnaissant comme un partenaire dans le domaine politique et des droits de l'Homme, à travers l’élargissement du champ des libertés individuelles et collectives, consacrées comme des acquis irréversibles par la Constitution de 2011, pour commettre des actes illégaux et punis par la loi ou servant des desseins inavoués "qui échappent même à certains participants à ces rassemblements ».
Il a rappelé, dans ce cadre, que le Parlement formé de personnes élues par la société, a voté en faveur de la punition des actes qui portent atteinte aux personnes et à la société, notamment durant les manifestations sportives.
Me Tabih a également insisté sur le devoir des élus locaux et des parlementaires d'assumer leurs responsabilités, aux côtés des pouvoirs publics, pour mettre un terme à ces agissements.
Lorsque l’usage des droits se fait au détriment des intérêts de la société et nuit aux droits des individus et de la collectivité, l’intervention des pouvoirs publics devient non seulement nécessaire mais relève des devoirs de ces mêmes autorités, a-t-il ajouté dans une déclaration mardi soir à la MAP, en réaction aux actes de vandalisme qui émaillent certains matches de football.
L’avocat a déploré le fait que certains exploitent l’ouverture de l’Etat sur la société en la reconnaissant comme un partenaire dans le domaine politique et des droits de l'Homme, à travers l’élargissement du champ des libertés individuelles et collectives, consacrées comme des acquis irréversibles par la Constitution de 2011, pour commettre des actes illégaux et punis par la loi ou servant des desseins inavoués "qui échappent même à certains participants à ces rassemblements ».
Il a rappelé, dans ce cadre, que le Parlement formé de personnes élues par la société, a voté en faveur de la punition des actes qui portent atteinte aux personnes et à la société, notamment durant les manifestations sportives.
Me Tabih a également insisté sur le devoir des élus locaux et des parlementaires d'assumer leurs responsabilités, aux côtés des pouvoirs publics, pour mettre un terme à ces agissements.