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Résultat : quelque 200 camions-remorques chargés de ciment avaient envahi les bas-côtés de la route Agadir-Essaouira au niveau du quartier d’Anza et occupé les espaces publics dans un désordre apparent.
Les grévistes qui avaient dressé des tentes ne comptaient pas en rester là. Ils se disaient être déterminés à poursuivre leur bras de fer avec l’Etat jusqu’à obtenir gain de cause, tout en exhortant les conducteurs de la ville à se joindre à leur mouvement.
Cette grève des transporteurs de ciment survenue la semaine dernière, avait entraîné une pénurie de ce produit et quand on sait que la région est très active dans le secteur du bâtiment, on comprend les inquiétudes des professionnels. Les stocks des revendeurs/détaillants se sont amenuisés à vue d’œil, les prix ont flambé et l’incertitude s’est installée. « Si la situation ne se débloque pas rapidement, nous confie un camionneur, nous allons droit vers une crise sociale et la responsabilité incombe à l’Etat».