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Ainsi, ce département vient de déposer pour commentaire son projet de décret auprès du Secrétariat général du gouvernement.
Par ailleurs, il a mené une démarche participative de réflexion, incluant l’ensemble des acteurs impliqués dans la sphère de la recherche et de l’innovation au Maroc, notamment les autorités gouvernementales concernées, les entreprises, les universités et les opérateurs financiers.
Une démarche intitulée «Initiative Maroc Innovation», qui a permis, après concertations, de définir un plan d’action pragmatique qui reprend les projets les plus réussis et les expériences internationales les plus intéressantes.
Aussi, cette stratégie nationale de l’innovation, portée aujourd’hui par le ministère de l’Industrie, le ministère de l’Education nationale, de l’Enseignement supérieur, de la Formation des cadres et de la recherche scientifique et la Confédération générale des entreprises du Maroc (CGEM), a fixé deux objectifs quantitatifs. Il s’agit en fait de produire 1.000 brevets marocains et de créer 200 start-up innovantes à l’horizon 2014.
En substance, le principe de base ayant conduit à la définition de ce plan a consisté à analyser la chaîne de valeur de l’innovation et à définir les composantes qui permettent à cette chaîne de fonctionner de la meilleure manière.
De ce fait, le plan s’articule autour de quatre piliers stratégiques comprenant treize chantiers phare. Il s’agit de la gouvernance et le cadre, l’infrastructure, le financement et le soutien, et enfin, la mobilisation des talents.








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