Les rapports de la Cour des comptes n’ont pas fini de défrayer la chronique.
Rares sont les secteurs épargnés, à telle enseigne qu’on serait tenté de croire que l’intégrité et la compétence ne seraient pas monnaie courante dans le pays.
Gestion calamiteuse le dispute à malversations affirmées. Le hic, c’est que cela n’a rien d’actuel. Nombreux sont les responsables qui sont cités nommément dans des affaires louches ou juteuses qui ne sont plus en exercice ou qui ne sont plus de ce monde. Le tout dernier rapport porte en effet sur l’année 2013. Et en attendant le prochain, il y a fort à parier que l’on ne risque pas d’y trouver quelques noms qui sont aujourd’hui cités par-ci, par-là à propos de quelques affaires pour le moins pas très claires. Des ministres actuels en font partie. Pour ne citer qu’un Rebbah ou un Ouzzine dont le limogeage n’a sûrement pas été fortuit.
Il va falloir donc attendre la fin de mandat de responsables actuels pour voir leurs noms couchés dans le fameux rapport.
Il est vrai que le travail gigantesque accompli par la Cour des comptes demande beaucoup de temps. Mais ce que l’on a plutôt du mal à comprendre, ce sont ces interminables atermoiements dont semble être trop féru le ministre de la Justice. Il avait bien déclaré qu’il avait soumis de nombreux dossiers à des juges, mais on n’a toujours rien vu venir. Et là, tout dernièrement, il vient de trouver une autre parade. Des poursuites, il y en aura, a-t-il lancé, mais ce sera après les élections.
Venant de la part de ceux qui ont fait durant leurs campagnes électorales de la lutte contre la prévarication un slogan de premier ordre, c’est pour le moins assez curieux.
Il ne faut pas trop s’en étonner. Justement, ce n’était qu’un slogan. Pas plus.
Rares sont les secteurs épargnés, à telle enseigne qu’on serait tenté de croire que l’intégrité et la compétence ne seraient pas monnaie courante dans le pays.
Gestion calamiteuse le dispute à malversations affirmées. Le hic, c’est que cela n’a rien d’actuel. Nombreux sont les responsables qui sont cités nommément dans des affaires louches ou juteuses qui ne sont plus en exercice ou qui ne sont plus de ce monde. Le tout dernier rapport porte en effet sur l’année 2013. Et en attendant le prochain, il y a fort à parier que l’on ne risque pas d’y trouver quelques noms qui sont aujourd’hui cités par-ci, par-là à propos de quelques affaires pour le moins pas très claires. Des ministres actuels en font partie. Pour ne citer qu’un Rebbah ou un Ouzzine dont le limogeage n’a sûrement pas été fortuit.
Il va falloir donc attendre la fin de mandat de responsables actuels pour voir leurs noms couchés dans le fameux rapport.
Il est vrai que le travail gigantesque accompli par la Cour des comptes demande beaucoup de temps. Mais ce que l’on a plutôt du mal à comprendre, ce sont ces interminables atermoiements dont semble être trop féru le ministre de la Justice. Il avait bien déclaré qu’il avait soumis de nombreux dossiers à des juges, mais on n’a toujours rien vu venir. Et là, tout dernièrement, il vient de trouver une autre parade. Des poursuites, il y en aura, a-t-il lancé, mais ce sera après les élections.
Venant de la part de ceux qui ont fait durant leurs campagnes électorales de la lutte contre la prévarication un slogan de premier ordre, c’est pour le moins assez curieux.
Il ne faut pas trop s’en étonner. Justement, ce n’était qu’un slogan. Pas plus.
