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Ce film de 90 minutes a pour objectif de rapprocher l'opinion publique internationale des faits historiques à même de réduire en cendre les mensonges colportés par les ennemis de l'intégrité territoriale du Royaume, a affirmé Barhouti à la MAP. Cette œuvre tire sa crédibilité des témoignages de membres fondateurs du "Polisario" qui ont rallié leur pays le Maroc, en réponse à l'appel "la patrie est clémente et miséricordieuse", lancé par Feu SM Hassan II, a-t-il souligné.
Ces témoignages ont dévoilé les objectifs de la création du "Polisario" et affirmé que les dirigeants de ce dernier n'ont pas la volonté d'aller de l'avant vers la résolution de ce problème, puisqu'ils profitent tous et s'enrichissent de l'aide internationale, sans oublier l'Algérie qui refuse toute solution afin de garder dans sa main une carte pour contrer le Maroc, a-t-il relevé. Ce film retrace, documents, témoignages et événements à l'appui, le parcours du "Polisario" depuis sa création, tout en jetant la lumière sur la réalité géostratégique de l'époque afin de mettre en avant la réalité, l'idéologie et les pratiques des séparatistes.
Le Festival de Dakhla, organisé par l'Association pour l'animation culturelle et artistique des provinces du Sud, s'est ouvert samedi par la projection du film tunisien "Lhay Yrouh", de Mohamed Amine Boukhriss.
Plusieurs longs-métrages sont en lice pour le Grand prix, dont les films marocains "Adieu Carmen" et "Assaout Al-Khafi", en plus d'œuvres de Palestine, Liban, Syrie, Egypte, Tunisie et l'Irak, sans oublier des productions d'Asie, d'Europe et d'Amérique du Nord qui seront projetées hors compétition.