-
Série d’entretiens d’une délégation parlementaire marocaine au Sénat français
-
Ouverture d’ une enquête judiciaire suite à la séquestration de ressortissants marocains par des bandes criminelles au Myanmar
-
Universitaires et experts soulignent à Mohammedia la pertinence du plan d’autonomie
-
M'hamed Abba met en avant la dynamique de développement tous azimuts au Sahara marocain
-
Omar Hilale : L'ambassadeur algérien délaisse ses responsabilités arabes au Conseil de sécurité au profit de son agenda sur le Sahara
L’émission de débat qu’anime Jamaa Goulahssen devait être consacrée à l’interdiction de «Much Loved», le dernier film de Nabil Ayouch. Parmi les invités de ce débat, Mostafa El Khalfi, le ministre de la Communication, A. Jmahri, le directeur de rédaction d’Al Ittihad Al Ichtiraki et l’activiste Sana El Aji.
Depuis la censure décidée par le ministre de la Communication du long métrage de N. Ayouch, une autre polémique a éclaté après la diffusion par 2M du concert de Jennifer Lopez. Une polémique qui vise directement 2M, a fait savoir la chaîne de Aïn Sebaâ qui a estimé que «les conditions d’un débat serein et constructif ne seraient pas réunies» pour cette édition de «Moubacharatane maakoum».
S’il n’est pas question d’offrir une tribune à Mostafa El Khalfi, qui aurait probablement réglé ses comptes en direct avec une télévision qui lui résiste, ceux qui ont décidé de l’annulation in extremis de ce débat ont par contre sous-estimé la présence sur le plateau de deux défenseurs acharnés de la liberté et de la modernité, Sana El Aji et A. Jmahri.
N.R