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SM le Roi reçoit les vœux de la famille des Forces Armées Royales
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Sa Majesté le Roi préside à Tétouan la cérémonie de prestation de serment des Officiers lauréats des grandes écoles militaires et paramilitaires
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SM le Roi, Amir Al-Mouminine, préside à Tétouan la cérémonie d'allégeance
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Vivement une refonte d’un modèle agricole lamentablement raté

Dans ce sens, le ministre des Affaires étrangères de Guinée Conakry, François Louncény Fall, a estimé qu'il serait mieux de laisser la question du Sahara au niveau des Nations unies, rapporte la MAP.
Dans une déclaration à la presse à l'issue d'un entretien, dimanche à Addis-Abeba, avec le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Saâd Eddine El Othmani, le responsable guinéen a indiqué qu'un projet de décision sur le Sahara a été examiné à la 20ème conférence de l'UA, précisant que cette décision prévoyait "des mentions qui ne sont plus normalement à l'ordre du jour dès lors que la question du Sahara est au niveau du Conseil de sécurité des Nations unies". "Il est mieux qu'on laisse cette question (NDLR: question du Sahara marocain) au niveau des Nations unies que de l'amener à nos débats qui ne pourraient être que stériles pour le moment". La question du Sahara a fait l'objet de débats lors du 20ème Sommet de l'UA entre pays amis du Maroc et d’autres hostiles à l'intégrité territoriale du Royaume. Le second groupe a appelé l'organisation africaine à se ressaisir du dossier du Sahara, ce qu’ont rejeté en bloc les pays soutenant l'intégrité territoriale du Maroc.
M. El Otmani, qui est arrivé vendredi à Addis-Abeba dans le cadre d'une visite en marge du Sommet de l'UA, a eu samedi et dimanche une série d'entretiens bilatéraux avec des ministres des Affaires étrangères africains.
La 20ème conférence ordinaire des chefs d'Etat et de gouvernement de l'UA se tient, du 27 au 28 janvier, sous le thème "Le panafricanisme et la renaissance africaine".
Il faut rappeler que le Maroc a quitté cette organisation régionale en 1984 quand l’UA avait perdu de son impartialité en acceptant, sous pression de l’Algérie, d’intégrer le Polisario en son sein.