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Tué d’une balle par un policier français : Nabil Mabtoul sera inhumé demain à Souk El Arbaâ du GharbMAP
Mercredi 1 Août 2012
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La dépouille de Nabil Mabtoul, un jeune Français d’origine marocaine tué d’une balle dans le cœur dans la nuit du mardi 26 juin par un policier à Millau (France), sera rapatriée aujourd’hui à 23 heures pour être enterrée demain jeudi à Souk El Arbaa du Gharb après la prière d’Addohr. La victime, 26 ans, rappelle-t-on, avait été interpellée par deux policiers alors qu’elle conduisait sa voiture avec un permis comportant seulement deux points, ce qui l’aurait poussé à prendre la fuite, selon la version de la police française. Un brigadier-chef de la BAC a tiré sur Nabil Mabtoul à la fin d’une course-poursuite, le touchant mortellement à l’épaule, aux poumons et à l’aorte. Le policier, mis en examen pour «coup mortel sans intention de donner la mort par personne dépositaire de l’autorité publique», a affirmé qu’il s’agissait d’un geste de légitime défense, la victime ayant tenté de renverser son collègue alors que celui-ci était descendu de son véhicule. Certes, tout au long de leurs auditions, les deux policiers mis en cause n'ont jamais changé de version. A savoir que le premier coup de feu - celui qui est à l'origine du décès de Nabil Mabtoul - est un «tir réflexe» effectué par un agent croyant que son collègue était en danger. Celui-ci, qui tentait d'ouvrir la portière de l'automobile conduite par le jeune homme, a été déséquilibré lorsque la voiture a démarré. Une chute au cours de laquelle il a également fait feu, «par accident», a-t-il indiqué à l'IGPN. Reste que cette version prônant la légitime défense d'autrui ne convainc pas vraiment la famille du disparu. Me Corbier, l'avocat des parents du jeune homme qui se sont constitués partie civile estime que le premier coup de feu «ne laissait aucune chance de survie à la victime». «On veut donc que la vérité soit dite», ajoute-t-il. Lu 2984 fois
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