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L’approche algérienne promouvant le séparatisme et la déstabilisation désormais isolée
Répondant à une question concernant le gouvernement d’alternance, le dirigeant socialiste a alors rappelé l’approche adoptée par le cabinet de Abderrahmane El Youssoufi, évitant le tapage médiatique ou tout sensationnalisme dans sa lutte contre la corruption et notamment les irrégularités enregistrées au sein du CIH.
A ce propos, Abdelhadi Khairat a dit ce qui suit : « Quand El Youssoufi était Premier ministre, on n’a pas emprisonné les gens, mais on a désigné les meilleurs juges en vue de récupérer prioritairement les fonds détournés car il s’agissait de milliards. Et le Prince rouge a emprunté 4 milliards sans aucune garantie ».