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Connue pour l’anarchie régissant la gestion des terrains collectifs, la province de Taza continue ainsi de sévir sans se soumettre à la loi, ni aux règles en vigueur. «La seule devise prévalant en la matière est celle des passe-droits ; les populations en ont marre des caïds faisant la pluie et le beau temps, et refusant d’appliquer la loi relative aux nouabs des terrains collectifs», explique un habitant du douar Tajjana dont des terrains sont exploités illégalement aussi, étant donné que le comité des nouabs ne répond pas aux normes requises par la loi. Le comble est que ce genre de carrières ne profite pas aux populations et entraîne des problèmes de pollution.