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La richesse culturelle de la ville du Détroit mise en avant au 1er Festival des trois rives
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Une belle brochette d’humoristes marocains à l’affiche lors de la première soirée de Comediablanca
Adaptée de “4:48 psychose” de Sarah Kane, la pièce se donne comme enjeu artistique et thématique de lever le voile sur le non-dit, de relater ce que les autres ne voient pas, de pointer du doigt cette meurtrière indifférence de l’autre, plutôt des autres, ... Et enfin de ritualiser un tabou... Asmaa Houri qui est dotée d’une formation théâtrale en Suède pense éloquemment son sujet : « …Quand on souffre d’une dépression chronique et qu’on développe, plutôt on mûrit une décision préméditée et minutée de se tuer, serait-on en train de donner jour à la sagesse ? Ou est-ce simplement de la folie? Qui est fou? Est-ce le sujet délirant ou le monde qui l’entoure?», s’interroge la réalisatrice qui met sur scène toutes les ambiguïtés possibles, afin de faire participer le public à la réflexion, et pas obligatoirement aux réponses. Là, ce n’est aucunement son objectif.