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Une délégation de la Chambre des conseillers a exposé récemment, lors d'une rencontre sur "La sécurité et la lutte contre le terrorisme", tenue au siège du Sénat italien à Rome, la stratégie intégrée du Maroc en matière de lutte contre le terrorisme et le phénomène des combattants terroristes étrangers.
Cette stratégie intégrée prend en considération, outre le volet sécuritaire notamment l'adhésion aux efforts internationaux en la matière et le démantèlement des réseaux terroristes, l'ensemble des facteurs politiques, socioéconomiques, culturels et spirituels, relatifs à ce phénomène, a indiqué un communiqué de la Chambre des conseillers.
Ainsi, Abdelmalek Afriat, a souligné lors de cette rencontre de deux jours (26 et 27 février) que parallèlement au renforcement de la législation en matière de lutte contre le terrorisme, à travers la Constitution de 2011, le Maroc a consacré les principes de la démocratie, des droits de l'Homme et les libertés, universellement reconnus, ainsi que la suprématie des conventions internationales sur les législations nationales.
M. Afriat a appelé, à cette occasion, à conjuguer les efforts au niveau régional en vue d'adopter des politiques et des initiatives sécuritaires préventives visant à lutter contre toutes les formes du terrorisme, d'extremisme, du crime organisé et de traite humaine.
Il a, à cet égard, fait observer que l'approche sécuritaire a démontré ses limites en l'absence d'une bonne gouvernance en matière de développement, estimant, par ailleurs, que l'intégration maghrébine qui fait défaut a un coût très élevé et constitue un obstacle pour faire face de manière efficiente à ces phénomènes, résoudre les conflits régionaux et mettre un terme au financement des groupes terroristes. D'autre part, le Conseiller a réaffirmé la ferme condamnation du Maroc de toutes les formes du terrorisme quelles que soient ses motivations, politiques ou religieuses, soulignant que cette rencontre traduit la ferme volonté et la conviction de tous les pays participants à œuvrer en vue de consacrer les valeurs de paix, de coexistence et du respect mutuel, sur la base des valeurs communes et dans le cadre du respect des libertés et des croyances.
Cette rencontre a été organisée en partenariat avec la Direction exécutive du Comité contre le terrorisme, l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime, l'Assemblée parlementaire de la Méditerranée, l'Union européenne (UE), l'Institut international maltais pour la justice et l'Etat de droit.
Le débat a porté sur diverses questions d'actualité, dont la sécurité, le terrorisme, les combattants terroristes étrangers et les droits de l'Homme à la lumière des résolutions des Nations unies se rapportant à ces thèmes.
Les participants ont également abordé les problématiques inhérentes à la nécessite d'établir l'équilibre entre le besoin d'assurer la sécurité des citoyens et le respect des droits de l'Homme.
Ont pris part à cette rencontre, les représentants des parlements du Maroc, de Mauritanie, de l'Algérie, de Libye, d'Italie, du Portugal et de Roumanie, des responsables d'organisations internationales dont les Nations unies et l'UE ainsi que des diplomates et experts d'organisations régionales et internationales, et des acteurs de la société civile.
Cette stratégie intégrée prend en considération, outre le volet sécuritaire notamment l'adhésion aux efforts internationaux en la matière et le démantèlement des réseaux terroristes, l'ensemble des facteurs politiques, socioéconomiques, culturels et spirituels, relatifs à ce phénomène, a indiqué un communiqué de la Chambre des conseillers.
Ainsi, Abdelmalek Afriat, a souligné lors de cette rencontre de deux jours (26 et 27 février) que parallèlement au renforcement de la législation en matière de lutte contre le terrorisme, à travers la Constitution de 2011, le Maroc a consacré les principes de la démocratie, des droits de l'Homme et les libertés, universellement reconnus, ainsi que la suprématie des conventions internationales sur les législations nationales.
M. Afriat a appelé, à cette occasion, à conjuguer les efforts au niveau régional en vue d'adopter des politiques et des initiatives sécuritaires préventives visant à lutter contre toutes les formes du terrorisme, d'extremisme, du crime organisé et de traite humaine.
Il a, à cet égard, fait observer que l'approche sécuritaire a démontré ses limites en l'absence d'une bonne gouvernance en matière de développement, estimant, par ailleurs, que l'intégration maghrébine qui fait défaut a un coût très élevé et constitue un obstacle pour faire face de manière efficiente à ces phénomènes, résoudre les conflits régionaux et mettre un terme au financement des groupes terroristes. D'autre part, le Conseiller a réaffirmé la ferme condamnation du Maroc de toutes les formes du terrorisme quelles que soient ses motivations, politiques ou religieuses, soulignant que cette rencontre traduit la ferme volonté et la conviction de tous les pays participants à œuvrer en vue de consacrer les valeurs de paix, de coexistence et du respect mutuel, sur la base des valeurs communes et dans le cadre du respect des libertés et des croyances.
Cette rencontre a été organisée en partenariat avec la Direction exécutive du Comité contre le terrorisme, l'Office des Nations unies contre la drogue et le crime, l'Assemblée parlementaire de la Méditerranée, l'Union européenne (UE), l'Institut international maltais pour la justice et l'Etat de droit.
Le débat a porté sur diverses questions d'actualité, dont la sécurité, le terrorisme, les combattants terroristes étrangers et les droits de l'Homme à la lumière des résolutions des Nations unies se rapportant à ces thèmes.
Les participants ont également abordé les problématiques inhérentes à la nécessite d'établir l'équilibre entre le besoin d'assurer la sécurité des citoyens et le respect des droits de l'Homme.
Ont pris part à cette rencontre, les représentants des parlements du Maroc, de Mauritanie, de l'Algérie, de Libye, d'Italie, du Portugal et de Roumanie, des responsables d'organisations internationales dont les Nations unies et l'UE ainsi que des diplomates et experts d'organisations régionales et internationales, et des acteurs de la société civile.
