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Bayane Al Yaoum indique que lors de cette campagne électorale, le PPS s'est bien différencié des autres: il a adopté une "communication de proximité" et a abordé les gens même dans les régions reculées.
Pour l'éditorialiste, ce parti opte pour le dialogue et l'interaction avec les électeurs et tient un discours politique "sérieux" et "clair". Il ne se rend pas toutefois dans les maisons, les marchés et les lieux "obscurs" pour "distribuer les promesses et les dons", mais explique son programme, exprime sa position et défend l'intérêt et la stabilité du pays, note-t-il.
Le parti du livre ne voit pas dans les élections une opportunité pour "se jeter sur les butins à tout prix", mais il les perçoit comme une occasion pour accomplir la réforme conçue dans une plateforme bien peaufinée et très claire afin de réaliser le développement pour le peuple, estime-t-il.
Al Ittihad Al Ichtiraki relève que les listes des candidatures de l'USFP se distinguent par la participation des jeunes des deux sexes en tant que candidats aux élections communales et régionales prévues le 4 septembre prochain.
Le parti de la rose n'a pas eu recours à "l'achat des candidats" pour compléter ses listes ou les circonscriptions, ni ne s'est permis de vanter de façon outrancière le nombre de candidatures, mais "a désigné ses militants, dotés d'un programme plus crédible", indique l'éditorialiste.
Sur un autre registre, le Matin estime que l'interpellation d'Eric Laurent et Catherine Graciet, jeudi dernier à Paris, pour chantage et tentative d'extorsion de fonds du Maroc est un fait-divers révélateur à plus d'un égard.
D'abord, cela a le mérite de mettre à nu toute la trame d'escrocs qui ont agi et navigué dans la même sphère, mais sous différentes formes, et ont surfé sur la vague des campagnes anti-marocaines menées par les adversaires du Royaume, relève l'analyste, soulignant que ces derniers, ayant remarqué la rapidité du rythme d'évolution du Maroc vers un Etat moderne, démocratique et émergent, avaient décidé d'entraver cet élan en recourant à des mercenaires de la plume dont la mission était, essentiellement, de jeter le discrédit sur cette transition marocaine.
Eric Laurent et Catherine Graciet, n'ayant pas pu obtenir de fonds de l'autre partie, "se sont tournés vers le Maroc croyant pouvoir le faire chanter. Ils se sont trompés. Ils ont commis l'erreur fatale", note-t-il.