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Les éditoriaux des quotidiens publiés vendredi se sont concentrés notamment sur le discours royal du Trône, la situation des personnes âgées au Maroc et l'utilisation des médias publics par les partis politiques lors de la campagne des élections communales.
Rissalat Al Oumma souligne que SM le Roi Mohammed VI a réitéré la position constante du Maroc à l'égard de la question de l'intégrité territoriale en affirmant que le Royaume ne permettra jamais qu'on empiète sur sa souveraineté, son intégrité territoriale et son projet de société. Tout comme il ne tolérera aucune atteinte à ses institutions ou à la dignité de ses citoyens.
"L'intégrité territoriale est une ligne rouge qui demeure infranchissable", écrit l'éditorialiste. Les développements advenus dans l'affaire du Sahara ont démontré la justesse de la position marocaine au niveau onusien et la sincérité de ses orientations au niveau national, alors que l'autre partie se cramponne à des approches et des solutions dépassées par le temps et l'évolution de la situation régionale, sans avoir l'audace de reconnaître son échec à porter atteinte à l'intégrité territoriale, à la souveraineté nationale et à la stabilité intérieure du Royaume.
Bien que le Maroc soit profondément engagé à poursuivre son chemin pour remporter l'enjeu de son intégrité territoriale à la faveur de la mise en œuvre de la régionalisation avancée et du modèle de développement des provinces du sud, cela ne signifie pas que le dossier est clos. "Au contraire chacun doit rester vigilant et se mobiliser pour contrecarrer les manœuvres des adversaires et s'opposer à toute déviation susceptible de se produire dans le processus de règlement onusien", estime-t-il.
L'Economiste critique l'approche adoptée à l'égard des personnes âgées au Maroc. "Une population vulnérable, sans ressources pour la plupart et, pire, sans aucune couverture médicale (...). Une catégorie de laissés-pour-compte qu'on n'arrive même pas à définir (...) Ces petits vieux vivent en deçà du seuil de pauvreté". C'est ainsi que l'éditorialiste a dépeint les conditions alarmantes dans lesquelles vivotent ces personnes.
Le Conseil économique, social et environnemental rapporte qu'une stratégie nationale a été mise sur pied en 2009 par le ministère de la Famille et du développement et qu'elle n'a jamais connu l'ombre d'une application, déplore-t-il, estimant que les actions sporadiques menées tant bien que mal par l'Etat et la société civile ne serviront à rien pour cette population qui compte trois millions de personnes aujourd'hui.
Al Ittihad Al Ichtiraki commente l'opération de tirage au sort des partis politiques par rapport à la grille d'utilisation des médias publics lors de la prochaine campagne pour les élections communales. L'éditorialiste relève que la répartition du temps pour les interventions des partis met en cause l'utilité et l'efficacité du temps affecté à ces formations politiques dans la campagne électorale.
Le contexte dans lequel s'inscrivent les prochaines échéances est complètement différent. Devant une abondance de nouveaux espaces de débat, comment une durée de moins de 45 heures durant une campagne électorale de plus de 12 jours peut-elle modifier les données et produire un effet positif sur l'électeur? s'interroge l'auteur de l'éditorial.
Rissalat Al Oumma souligne que SM le Roi Mohammed VI a réitéré la position constante du Maroc à l'égard de la question de l'intégrité territoriale en affirmant que le Royaume ne permettra jamais qu'on empiète sur sa souveraineté, son intégrité territoriale et son projet de société. Tout comme il ne tolérera aucune atteinte à ses institutions ou à la dignité de ses citoyens.
"L'intégrité territoriale est une ligne rouge qui demeure infranchissable", écrit l'éditorialiste. Les développements advenus dans l'affaire du Sahara ont démontré la justesse de la position marocaine au niveau onusien et la sincérité de ses orientations au niveau national, alors que l'autre partie se cramponne à des approches et des solutions dépassées par le temps et l'évolution de la situation régionale, sans avoir l'audace de reconnaître son échec à porter atteinte à l'intégrité territoriale, à la souveraineté nationale et à la stabilité intérieure du Royaume.
Bien que le Maroc soit profondément engagé à poursuivre son chemin pour remporter l'enjeu de son intégrité territoriale à la faveur de la mise en œuvre de la régionalisation avancée et du modèle de développement des provinces du sud, cela ne signifie pas que le dossier est clos. "Au contraire chacun doit rester vigilant et se mobiliser pour contrecarrer les manœuvres des adversaires et s'opposer à toute déviation susceptible de se produire dans le processus de règlement onusien", estime-t-il.
L'Economiste critique l'approche adoptée à l'égard des personnes âgées au Maroc. "Une population vulnérable, sans ressources pour la plupart et, pire, sans aucune couverture médicale (...). Une catégorie de laissés-pour-compte qu'on n'arrive même pas à définir (...) Ces petits vieux vivent en deçà du seuil de pauvreté". C'est ainsi que l'éditorialiste a dépeint les conditions alarmantes dans lesquelles vivotent ces personnes.
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