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Plusieurs actions de réhabilitation, de restauration ou de reconversion de ces édifices et constructions ont été ainsi entreprises selon une approche à la fois socioéconomique, culturelle et patrimoniale.
Le programme de restauration et de réhabilitation des monuments historiques et le programme de traitement du bâti menaçant ruine dans la médina de Fès s'inscrivent justement dans le cadre de ces efforts visant la réhabilitation du tissu urbain de la ville et la préservation de son patrimoine historique, ainsi que l'amélioration des conditions de vie de la population de cette cité millénaire.
La précarité de la situation socio-économique des ménages concernés, la sur-densification et la surexploitation des bâtisses et leur statut d'occupation (la plupart des occupants sont des locataires), figurent parmi les principales causes de la prolifération de l'habitat menaçant ruine dans la ville de Fès.
L'approche qui a été adoptée à ce sujet repose sur le relogement des ménages occupant les bâtisses menaçant ruine et irrécupérables, la subvention à hauteur de 50 % pour l'aide à la réhabilitation, en plus de la prise en charge par l'Etat des frais des études et d'encadrement.
Elle porte également sur la prise en charge par l'Etat de 100 % du coût de réhabilitation, selon une procédure légale pour les cas récalcitrants ou en cas d'absence d'interlocuteurs et sur l'intervention d'urgence, pour les cas critiques.