Autres articles
-
Le cinéma marocain s'invite à Manille
-
Le violoncelliste français Aurélien Pascal en concert à Dar Adiyel
-
12 nouvelles fresques murales prennent forme dans divers quartiers de Rabat
-
Entre ambition artistique et controverses culturelles
-
"Le Verre de l’amitié", Grand Prix du Festival international cinéma et migration d'Utrecht
La grande diva de la musique marocaine, Raymonde Al Bidaouia a illuminé la scène du Festival des Andalousies Atlantiques d’Essaouira, en interprétant avec brio et professionnalisme, une série de titres puisés dans le répertoire musical marocain.
Dans une ambiance de liesse générale mais aussi de retrouvaille sereine, celle qu’on surnomme "la perle orientale" a opéré son grand retour, tant attendu, dans la cité des Alizés, gratifiant ses fans d’un florilège tout aussi riche que varié de chansons, qui illustrent l’authenticité mais aussi, la diversité de la musique du Maroc pluriel. Sous les ovations du public présent et dans une ambiance conviviale et fraternelle, Raymonde El Bidaouiya, accompagnée dans cette belle aventure musicale, de l’orchestre Cherkani sous la direction du violoniste hors pair, Ahmed Cherkani, a envoûté les festivaliers, en revisitant, avec aisance et fluidité, les morceaux les plus emblématiques du Chaabi, Melhoune, et Chgouri, qui disent à chacun d’entre nous et comme autres, la très riche diversité du répertoire populaire de notre pays.
Née à Casablanca en 1943, Raymonde El Bidaouiya est devenue chanteuse professionnelle en 1970 pour être considérée, par la suite, comme l’une des premières Marocaines à avoir excellé dans le genre chaâbi, en réussissant aussi à interpréter des morceaux du Melhoune, du Haouzi ou encore des chansons variées. Auparavant, le public a été convié à un concert unique en compagnie des filles du pays, Zainab Afailal, Abir El Abed et Fatima Zohra Qortobi, le temps de célébrer majestueusement le grand Abdessadek Chekara et ce, 39 ans après la composition et l’enregistrement de la célèbre chanson Bent Bladi.
Dans une ambiance de liesse générale mais aussi de retrouvaille sereine, celle qu’on surnomme "la perle orientale" a opéré son grand retour, tant attendu, dans la cité des Alizés, gratifiant ses fans d’un florilège tout aussi riche que varié de chansons, qui illustrent l’authenticité mais aussi, la diversité de la musique du Maroc pluriel. Sous les ovations du public présent et dans une ambiance conviviale et fraternelle, Raymonde El Bidaouiya, accompagnée dans cette belle aventure musicale, de l’orchestre Cherkani sous la direction du violoniste hors pair, Ahmed Cherkani, a envoûté les festivaliers, en revisitant, avec aisance et fluidité, les morceaux les plus emblématiques du Chaabi, Melhoune, et Chgouri, qui disent à chacun d’entre nous et comme autres, la très riche diversité du répertoire populaire de notre pays.
Née à Casablanca en 1943, Raymonde El Bidaouiya est devenue chanteuse professionnelle en 1970 pour être considérée, par la suite, comme l’une des premières Marocaines à avoir excellé dans le genre chaâbi, en réussissant aussi à interpréter des morceaux du Melhoune, du Haouzi ou encore des chansons variées. Auparavant, le public a été convié à un concert unique en compagnie des filles du pays, Zainab Afailal, Abir El Abed et Fatima Zohra Qortobi, le temps de célébrer majestueusement le grand Abdessadek Chekara et ce, 39 ans après la composition et l’enregistrement de la célèbre chanson Bent Bladi.