-
Guelmim : Baisse de 0,4% de l'IPC en mars
-
Fès abrite la première édition du Forum régional de l'emploi dédié aux métiers du secteur tertiaire
-
Al Hoceima: Programme riche et varié pour la célébration du mois du patrimoine
-
Le 59è Salon international de la rose à parfum ouvre ses portes à Kelâat M’Gouna
-
Aéroport de Dakhla : Hausse de 19% du trafic aérien au 1er trimestre de 2024
Les effluves insupportables infestent la place et infligent un dur supplice aux sens olfactifs des passants. Alors que cela se passe à quelques encablures du dispensaire et du siège communaux. Curieuse promiscuité, serait-on tenté de dire. Il est donc impossible que l’existence d’un tel point noir échappe à la connaissance des responsables locaux. Du coup, tout laisse croire que ceux-ci s’accommodent sans gêne d’une telle insalubrité. Sinon, pourquoi le conseil communal n’intervient-il pas pour donner un grand coup de balai dans les lieux squattés par le dépotoir et y assurer le passage régulier des éboueurs, tout en avertissant les pollueurs de cesser leur incivilité, sous peine de sévir à leur encontre en leur adressant des PV en cas de récidive? Pourquoi le caïd d’Aït Ouafkka qui en assume une part de responsabilité eu égard aux attributions conférées à l’autorité de tutelle qu’il représente, ne fait-il pas valoir ses compétences en la matière dans ce sens? Des questions auxquelles les habitants de Doutemanroute et du Souk Khemis Aït Ouafkka attendent des réponses. Surtout que le propriétaire du bâtiment dont le collecteur des eaux usées étant incriminé, est déjà dénoncé auprès des autorités locales, mais en vain.