"Entrer dans la cour des grands" avec un Di Maria voire un Pogba: le souhait martelé par le PSG peut désormais prendre corps avec la levée des sanctions du fair-play financier qui lui permet de viser les plus grandes stars internationales.
"Il faut s'améliorer mais le fair-play financier nous gêne sur ce que l'on veut faire. On veut entrer dans la cour des grands mais ça va être compliqué", avait prévenu l'entraîneur, Laurent Blanc, avant la fin de la saison dernière.
Pour l'heure, le PSG a déboursé 12 M EUR pour lever l'option d'achat du latéral Serge Aurier, prêté par Toulouse la saison passée. Il a deux mois pour renforcer son effectif en mode Ligue des champions.
A 22 ans, le Français est LA star que les grands s'arrachent. Le Barça aurait avancé sur le dossier, selon la presse espagnole. Mais si le PSG veut vraiment "entrer dans la cour des grands", cela suppose aussi de souffler au moins un grand nom à la concurrence, aussi huppée soit-elle.
Ce serait l'occasion de frapper un gros coup et de s'imposer comme un acteur incontournable: la valeur marchande de Paul Pogba se situe sans doute au-delà des 64 millions d'euros déboursés pour Cavani. Des enveloppes pratiquées dans un cercle très restreint (Real, Barça, Manchester United).
Signe de l'intérêt parisien, le président du club, Nasser Al-Khelaïfi, avait rencontré Pogba en début d'année. Laurent Blanc avait confirmé l'entrevue tout en la banalisant. L'entraîneur ne peut être insensible à un tel profil, absent de l'effectif actuel.
Mais si la politique du carnet de chèques est de nouveau possible, elle doit aussi éviter des folies, notamment salariales, qui réactualiseraient la menace de sanctions. En acquérant Pogba, Paris pourrait-il recruter d'autres joueurs ?
"Les joueurs que je voudrai, je les aurai". Cette affirmation, "Nasser" l'avait prononcée au printemps 2014, au lendemain des sanctions prononcées par l'UEFA au titre du fair-play financier, notamment la limitation à 60 millions d'euros de dépenses. A l'époque, cela avait tout de même empêché Paris de rivaliser avec Manchester United pour recruter Angel Di Maria, acheté 75 M EUR au Real Madrid. Mais un an après, la situation a changé. Paris est libéré de ses contraintes, tandis que l'Argentin de 27 ans sort d'une première saison pénible avec les Red Devils, entre blessures et difficultés d'adaptation.
La recherche d'un ailier polyvalent, alors que Paris semble vouloir se séparer d'Ezequiel Lavezzi trop irrégulier, conduit tout droit à Di Maria que Laurent Blanc "aurait apprécié avoir" dès l'été dernier, avait-il dit en janvier.
Si le PSG échouait à arracher l'Argentin à ManU, qui aurait fixé un prix autour de 60 millions d'euros selon la presse anglaise, d'autres joueurs au profil similaire peuvent être accessibles.
Pedro (27 ans), cantonné au banc des remplaçants au Barça depuis l'avènement du trio MSN (Messi, Neymar, Suarez), est de ceux-là même s'il vient de prolonger jusqu'en 2018. L'Espagnol vaudrait en tout cas 30 millions d'euros selon la presse de son pays, soit le même prix que le Belge de Wolfsburg, Kevin De Bruyne (24 ans), également dans le viseur de Paris.
Paris doit impérativement se renforcer, mais cela s'inscrit également en fonction des possibles départs. Le milieu Yohan Cabaye et le latéral gauche Lucas Digne, qui manquent de temps de jeu et en auront besoin en vue de l'Euro-2016, sont tentés par cette option.
Pour Cabaye, l'Angleterre, où il s'était épanoui entre 2011 et 2014 à Newcastle, peut lui permettre une renaissance. Selon le Guardian, Crystal Palace aurait formulé une offre de 14 millions d'euros. Si l'ancien Lillois repartait outre-Manche, le Bosnien Miralem Pjanic (AS Rome) pourrait être approché.
S'agissant de Digne, un départ obligerait Paris à trouver un suppléant à Maxwell. En revanche, pour l'arrière droit Gregory van der Wiel, également susceptible de partir, Paris n'aura pas besoin de s'activer puisqu'il compte en Aurier et Marquinhos deux joueurs performants.
Enfin, cela n'était pas forcément prévu, mais Paris semble vouloir recruter le gardien allemand Kevin Trapp, que Francfort accepterait de céder autour de 10 M EUR.
"Il faut s'améliorer mais le fair-play financier nous gêne sur ce que l'on veut faire. On veut entrer dans la cour des grands mais ça va être compliqué", avait prévenu l'entraîneur, Laurent Blanc, avant la fin de la saison dernière.
Pour l'heure, le PSG a déboursé 12 M EUR pour lever l'option d'achat du latéral Serge Aurier, prêté par Toulouse la saison passée. Il a deux mois pour renforcer son effectif en mode Ligue des champions.
A 22 ans, le Français est LA star que les grands s'arrachent. Le Barça aurait avancé sur le dossier, selon la presse espagnole. Mais si le PSG veut vraiment "entrer dans la cour des grands", cela suppose aussi de souffler au moins un grand nom à la concurrence, aussi huppée soit-elle.
Ce serait l'occasion de frapper un gros coup et de s'imposer comme un acteur incontournable: la valeur marchande de Paul Pogba se situe sans doute au-delà des 64 millions d'euros déboursés pour Cavani. Des enveloppes pratiquées dans un cercle très restreint (Real, Barça, Manchester United).
Signe de l'intérêt parisien, le président du club, Nasser Al-Khelaïfi, avait rencontré Pogba en début d'année. Laurent Blanc avait confirmé l'entrevue tout en la banalisant. L'entraîneur ne peut être insensible à un tel profil, absent de l'effectif actuel.
Mais si la politique du carnet de chèques est de nouveau possible, elle doit aussi éviter des folies, notamment salariales, qui réactualiseraient la menace de sanctions. En acquérant Pogba, Paris pourrait-il recruter d'autres joueurs ?
"Les joueurs que je voudrai, je les aurai". Cette affirmation, "Nasser" l'avait prononcée au printemps 2014, au lendemain des sanctions prononcées par l'UEFA au titre du fair-play financier, notamment la limitation à 60 millions d'euros de dépenses. A l'époque, cela avait tout de même empêché Paris de rivaliser avec Manchester United pour recruter Angel Di Maria, acheté 75 M EUR au Real Madrid. Mais un an après, la situation a changé. Paris est libéré de ses contraintes, tandis que l'Argentin de 27 ans sort d'une première saison pénible avec les Red Devils, entre blessures et difficultés d'adaptation.
La recherche d'un ailier polyvalent, alors que Paris semble vouloir se séparer d'Ezequiel Lavezzi trop irrégulier, conduit tout droit à Di Maria que Laurent Blanc "aurait apprécié avoir" dès l'été dernier, avait-il dit en janvier.
Si le PSG échouait à arracher l'Argentin à ManU, qui aurait fixé un prix autour de 60 millions d'euros selon la presse anglaise, d'autres joueurs au profil similaire peuvent être accessibles.
Pedro (27 ans), cantonné au banc des remplaçants au Barça depuis l'avènement du trio MSN (Messi, Neymar, Suarez), est de ceux-là même s'il vient de prolonger jusqu'en 2018. L'Espagnol vaudrait en tout cas 30 millions d'euros selon la presse de son pays, soit le même prix que le Belge de Wolfsburg, Kevin De Bruyne (24 ans), également dans le viseur de Paris.
Paris doit impérativement se renforcer, mais cela s'inscrit également en fonction des possibles départs. Le milieu Yohan Cabaye et le latéral gauche Lucas Digne, qui manquent de temps de jeu et en auront besoin en vue de l'Euro-2016, sont tentés par cette option.
Pour Cabaye, l'Angleterre, où il s'était épanoui entre 2011 et 2014 à Newcastle, peut lui permettre une renaissance. Selon le Guardian, Crystal Palace aurait formulé une offre de 14 millions d'euros. Si l'ancien Lillois repartait outre-Manche, le Bosnien Miralem Pjanic (AS Rome) pourrait être approché.
S'agissant de Digne, un départ obligerait Paris à trouver un suppléant à Maxwell. En revanche, pour l'arrière droit Gregory van der Wiel, également susceptible de partir, Paris n'aura pas besoin de s'activer puisqu'il compte en Aurier et Marquinhos deux joueurs performants.
Enfin, cela n'était pas forcément prévu, mais Paris semble vouloir recruter le gardien allemand Kevin Trapp, que Francfort accepterait de céder autour de 10 M EUR.
Aux caporaux le Graal de la bêtise
