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A partir du 27 novembre, les jeunes de la Cité internationale de cinéma prendront part aux ateliers initiés à cette occasion, autour des techniques de montage et de scénario. Le même jour, on donnera le coup d’envoi des projections de films en compétition officielle. Le public aura ainsi rendez-vous avec des courts-métrages tels que “Portrait” de Mourad Khellou, “Et moi” de Houssain Chani, “Le fruit interdit” de Noura Azeroual, «Le vélo» de Khalid Qouban, “La clé” de Aziz Mala, “Le propriétaire du vélo” de Saad Belli, “C’est quoi?” de Hamid Azizi et “Moustaj” de Hakim Qebbabi. Les cinéphiles auront droit aussi à de longs-métrages, déjà primés dans d’autres festivals, comme “Agherrabou” de Ahmed Bayddou, “Tawnza” de Malika Mennouk et “Adios Carmen” de Mohamed Amin Benamraoui et “Heb rrman” d’Abdellah Ferkous. Les films en compétition seront départagés par un jury présidé par la réalisatrice marocaine Fatima Boubakdi et composé du poète Abdessalem Fizazi, du chercheur Zayd Ouchna, du critique Hamid Tbatou et de l’acteur amazigh Houssain Berdouaz. Par ailleurs, la thématique du festival, en l’occurrence la mise en valeur de la mémoire orale locale à travers le film amazigh, fera l’objet d’une table ronde, avec la participation de plusieurs chercheurs dont Mohamed Sallou, Rajab Machichi et Mustapha Elouizi. Un hommage posthume sera rendu au réalisateur Mohamed Mernich et au critique Brahim Aït Lhou. Le programme comprend outre deux expositions d’arts plastiques et d’œuvres de la mémoire amazighe, la projection du film “Swinkm”, hors compétition, à la prison civile de Ouarzazate.