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Corse
Cinq personnes ont été interpellées mardi à Ajaccio, sur l'île française de Corse, dans l'enquête sur le saccage d'une salle de prière musulmane en décembre dans cette ville, a-t-on appris de source proche du dossier.
Une salle de prière, inoccupée lors des faits, le 26 décembre, avait subi des dégradations et un Coran avait été brûlé. Ces incidents s'étaient déroulés le lendemain de l'agression de sapeurs- pompiers tombés dans un guet-apens dans un quartier voisin.
Cinq personnes ont déjà été mises en examen dans les enquêtes sur ces affaires.
Le 30 avril, une autre petite salle de prière a été incendiée dans un autre quartier d'Ajaccio, sans faire de victime. Cette opération n'a pas été revendiquée et l'enquête s'oriente autant sur un acte anti-musulman que sur une piste crapuleuse.
Yémen
Les protagonistes du conflit yéménite ont repris lundi à Koweït les négociations de paix après une interruption de près d'une semaine à l'initiative de la délégation du gouvernement, a indiqué l'ONU.
Une réunion conjointe s'est tenue entre les deux délégations, a indiqué dans un communiqué l'émissaire de l'ONU Ismail Ould Cheikh Ahmed, précisant qu'il s'était également entretenu avec les deux parties séparément.
Lancées le 21 avril, les négociations avaient été suspendues mardi, la délégation du gouvernement accusant celle des rebelles de ne pas respecter ses engagements.
Cette délégation a demandé des engagements écrits des rebelles houthis sur leur acceptation de la résolution 2216 du Conseil de sécurité de l'ONU, leur enjoignant de se retirer des zones qu'ils ont conquises et de remettre les armes lourdes.
Cinq personnes ont été interpellées mardi à Ajaccio, sur l'île française de Corse, dans l'enquête sur le saccage d'une salle de prière musulmane en décembre dans cette ville, a-t-on appris de source proche du dossier.
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Une réunion conjointe s'est tenue entre les deux délégations, a indiqué dans un communiqué l'émissaire de l'ONU Ismail Ould Cheikh Ahmed, précisant qu'il s'était également entretenu avec les deux parties séparément.
Lancées le 21 avril, les négociations avaient été suspendues mardi, la délégation du gouvernement accusant celle des rebelles de ne pas respecter ses engagements.
Cette délégation a demandé des engagements écrits des rebelles houthis sur leur acceptation de la résolution 2216 du Conseil de sécurité de l'ONU, leur enjoignant de se retirer des zones qu'ils ont conquises et de remettre les armes lourdes.
