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NewsMardi 11 Février 2014
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Explosion Une explosion, vraisemblablement causée par un attentat à la voiture piégée, s'est produite lundi après-midi à Kaboul, a-t-on appris de sources concordantes, sans qu'aucune victime ne soit encore signalée à ce stade. L'explosion est survenue dans le district 12, dans l'est de la capitale afghane, selon un communiqué du ministère de l'Intérieur. Les carcasses de deux véhicules, dont l'un pourrait avoir servi à mener un attentat, étaient visibles sur place, de même qu'une forte présence policière et des soldats de l'Otan, a constaté un photographe de l'AFP. Un témoin a affirmé, sous le couvert de l'anonymat, qu'il s'agissait d'un attentat suicide contre un convoi de la coalition. Interrogée à ce sujet, la Force internationale de l'Otan en Afghanistan (Isaf) a indiqué qu'une "enquête" était en cours, sans plus de précision. Crimes Le procureur de la Cour pénale internationale a accusé lundi l'ancien chef de guerre Bosco Ntaganda, surnommé "Terminator", de crimes "ethniques" dans l'est de la République démocratique du Congo, tentant de convaincre les juges que son dossier est assez solide pour un procès. "Bosco Ntaganda et l'UPC/FPLC (sa milice, ndlr) ont persécuté des civils sur des bases ethniques", a assuré la Gambienne Fatou Bensouda lors d'une audience de confirmation des charges devant la CPI, en présence du suspect, écroué depuis 2013. "Les crimes n'étaient pas commis au hasard et n'étaient pas spontanés", a ajouté Mme Bensouda : "Ils visaient délibérément la population non-Hema" de l'Ituri (est de la RDC), région riche en ressources naturelles, notamment de l'or, dont la milice de M. Ntaganda voulait le contrôle. Pourparlers Un peu plus de deux semaines après avoir signé un cessez-le-feu qui peine toujours à être respecté, les belligérants du conflit qui a éclaté mi-décembre au Soudan du Sud devaient se retrouver lundi à Addis Abeba pour de nouveaux pourparlers. Le gouvernement sud-soudanais du président Salva Kiir et les partisans de son ancien vice-président Riek Machar - à qui il avait fallu une vingtaine de jours de laborieuses négociations pour s'accorder sur une simple cessation des hostilités - doivent désormais tenter de trouver un accord politique mettant fin durablement au conflit qui les oppose. "Le deuxième cycle de négociations sud-soudanaises, axé sur le dialogue politique et la réconciliation nationale, sera officiellement lancé (...) lundi 10 février", a annoncé dimanche l'Autorité intergouvernementale pour le développement (Igad), organisation sous-régionale est-africaine médiateur dans le conflit.
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