Le Real Madrid a écrasé (5-1) le Deportivo La Corogne, dimanche à domicile, pour la 6e journée du championnat d'Espagne, les Madrilènes, emmenés notamment par Ronaldo auteur d'un triplé, restant ainsi à 8 points du FC Barcelone avant le clasico de dimanche prochain au Camp-Nou.
Mené au score à domicile face au Deportivo La Corogne après une erreur défensive, le Real Madrid a toutefois bien su réagir (5-1), emmené par un Ronaldo auteur d'un triplé et un Di Maria lui aussi buteur et passeur décisif.
Face aux Galiciens, les modifications de l'entraîneur des Blancs José Mourinho dans son onze de départ n'ont donc pas mal fonctionné. "Mou" avait en effet décidé de faire évoluer Modric aux côtés de Khedira en milieu défensif et de replacer Ramos en latéral droit, poste où l'Espagnol évoluait avant sa reconversion comme défenseur central.
Ces changements ont notamment permis à Xabi Alonso, entré en jeu en deuxième période, et à Arbeloa de souffler avant le match de C1 des Merengue, mercredi sur le terrain de l'Ajax Amsterdam.
Mais ils ont aussi permis de tirer quelques enseignements: le Croate Modric, en dépit de sa passe décisive pour Di Maria (38), est sans doute plus à sa place en meneur de jeu qu'en milieu défensif. Et Varane, seulement pris en faute sur le but des Galiciens, est désormais complètement mûr pour jouer quand Mourinho en a besoin.
Une semaine avant le clasico au Camp Nou, le Real Madrid, qui souffrait jusqu'à présent d'un déficit de buts (7 buts en 5 matches, mais désormais 12 en 6 rencontres) a donc soigné la confiance. Mais dimanche prochain, il se confrontera à un adversaire d'un tout autre calibre.
Auteur d'un début de saison impeccable d'un point de vue comptable (18 points sur 18 possibles) et leader de Liga devant l'Atletico (2e après son succès sur la pelouse de l'Espanyol 1-0), le FC Barcelone a pourtant souffert à maintes reprises pour empocher ses victoires. Samedi, son succès sur la pelouse du FC Séville (3-2) est sans doute à ranger parmi ses succès les plus laborieux, puisque les Blaugrana étaient encore menés 2-1 à deux minutes de la fin.
Mais un doublé de Fabregas et un but opportuniste de Villa ont fini par faire plier les Sévillans, réduits à dix à partir de l'exclusion discutable de Medel à la 72e.
La volonté farouche des Barcelonais et la prise de risques de l'entraîneur du Barça Vilanova - qui a fait rentrer Tello, Thiago et Villa - ont ainsi été plus fortes que certaines erreurs de défense des Catalans, fragilisés par les absences de Puyol et Piqué en charnière centrale.
Le Rayo Vallecano, en déplacement sur le terrain du promu Valladolid, a subi une véritable déroute (6-1), dimanche. Après avoir pourtant ouvert le score par Chori Dominguez, l'équipe de Paco Jemez a ainsi encaissé pas moins de six buts, dont deux doublés signés Oscar (21, 55) et Manucho (13, 85). Une victoire qui hisse provisoirement Valladolid à la 7e place du classement.
De la même manière, Osasuna, pour sa première victoire de la saison, a eu la main lourde face à Levante (4-0) à domicile. Les Navarrais, jusqu'ici lanternes rouges, remontent ainsi à la 18e place.
Mené au score à domicile face au Deportivo La Corogne après une erreur défensive, le Real Madrid a toutefois bien su réagir (5-1), emmené par un Ronaldo auteur d'un triplé et un Di Maria lui aussi buteur et passeur décisif.
Face aux Galiciens, les modifications de l'entraîneur des Blancs José Mourinho dans son onze de départ n'ont donc pas mal fonctionné. "Mou" avait en effet décidé de faire évoluer Modric aux côtés de Khedira en milieu défensif et de replacer Ramos en latéral droit, poste où l'Espagnol évoluait avant sa reconversion comme défenseur central.
Ces changements ont notamment permis à Xabi Alonso, entré en jeu en deuxième période, et à Arbeloa de souffler avant le match de C1 des Merengue, mercredi sur le terrain de l'Ajax Amsterdam.
Mais ils ont aussi permis de tirer quelques enseignements: le Croate Modric, en dépit de sa passe décisive pour Di Maria (38), est sans doute plus à sa place en meneur de jeu qu'en milieu défensif. Et Varane, seulement pris en faute sur le but des Galiciens, est désormais complètement mûr pour jouer quand Mourinho en a besoin.
Une semaine avant le clasico au Camp Nou, le Real Madrid, qui souffrait jusqu'à présent d'un déficit de buts (7 buts en 5 matches, mais désormais 12 en 6 rencontres) a donc soigné la confiance. Mais dimanche prochain, il se confrontera à un adversaire d'un tout autre calibre.
Auteur d'un début de saison impeccable d'un point de vue comptable (18 points sur 18 possibles) et leader de Liga devant l'Atletico (2e après son succès sur la pelouse de l'Espanyol 1-0), le FC Barcelone a pourtant souffert à maintes reprises pour empocher ses victoires. Samedi, son succès sur la pelouse du FC Séville (3-2) est sans doute à ranger parmi ses succès les plus laborieux, puisque les Blaugrana étaient encore menés 2-1 à deux minutes de la fin.
Mais un doublé de Fabregas et un but opportuniste de Villa ont fini par faire plier les Sévillans, réduits à dix à partir de l'exclusion discutable de Medel à la 72e.
La volonté farouche des Barcelonais et la prise de risques de l'entraîneur du Barça Vilanova - qui a fait rentrer Tello, Thiago et Villa - ont ainsi été plus fortes que certaines erreurs de défense des Catalans, fragilisés par les absences de Puyol et Piqué en charnière centrale.
Le Rayo Vallecano, en déplacement sur le terrain du promu Valladolid, a subi une véritable déroute (6-1), dimanche. Après avoir pourtant ouvert le score par Chori Dominguez, l'équipe de Paco Jemez a ainsi encaissé pas moins de six buts, dont deux doublés signés Oscar (21, 55) et Manucho (13, 85). Une victoire qui hisse provisoirement Valladolid à la 7e place du classement.
De la même manière, Osasuna, pour sa première victoire de la saison, a eu la main lourde face à Levante (4-0) à domicile. Les Navarrais, jusqu'ici lanternes rouges, remontent ainsi à la 18e place.
Aux caporaux le Graal de la bêtise
