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Les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l’Onu et l’Allemagne tentent d’imposer un contrôle sur le programme d’enrichissement d’uranium mené par la république islamique afin qu’il ne poursuive que des objectifs civils.
Les Occidentaux soupçonnent Téhéran de chercher à se doter d’une capacité nucléaire militaire, ce que démentent les autorités iraniennes.
«Nous avons accepté que ces négociations aient lieu en janvier, mais pour le moment nous n’avons pas finalisé les détails», a indiqué le négociateur iranien Saïd Jalili lors d’une visite en Inde.
Les six puissances mondiales -Etats-Unis, France, Russie, Chine, Grande-Bretagne et Allemagne- ont participé à trois réunions avec les représentants iraniens depuis avril, sans enregistrer de progrès significatifs. Mais aucune des parties en présence n’a pris le risque de rompre le cycle des négociations notamment en raison des inquiétudes suscitées par la menace d’une éventuelle intervention militaire d’Israël qui pourrait conduire à un conflit dans la région proche-orientale.