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D’après un communiqué du bureau national de l’association, ce carrefour de partage et d’échange entre 150 jeunes issus des différentes régions du Maroc, se veut un exercice de réflexion collective sur les différents aspects du paysage culturel au Maroc. Tout en invitant à débattre des mutations sociales que connaît le Maroc à plusieurs niveaux.
«La stratégie de l’association vise à lier les jeunes aux différentes questions et débats que connaît le Maroc, la problématique culturelle, sociale et éducative principalement. L’objectif étant de garantir leur implication et contribution dans les dynamiques sociales du Maroc d’aujourd’hui», peut-on lire dans le communiqué de l’association.
Le programme de l’université des jeunes prévoit un débat autour de « la participation des jeunes dans la chose publique » encadré par Mustapha Sophi professeur des sciences politiques à la FP de Safi, « les fondement de la citoyenneté dans la Constitution de 2011 » par Said Khomri, professeur des sciences politiques à la FP de Safi, « La crise de la lecture au Maroc » sous la direction de Mohammed Mifrani , auteur et metteur en scène, et « la question de l’éducation et la formation » par Mounir Chercki, membre du bureau central de l’association.
La première journée a été marquée par l’ouverture officielle de l’université abritant 150 jeunes, et la projection du court-métrage pédagogique «La main gauche » de Kamal Chwika, avec au programme la projection du film «Mémoire emprisonnée » de Jilali Farhati.
L’université des jeunes sera couronnée par l’adoption de recommandations issues des ateliers thématiques organisés autour des questions du genre, la corruption, et l’implication des jeunes.