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En sit-in ouvert depuis plus d’une semaine, des dizaines de personnes protestent, contre ce qu’elles qualifient d’«exclusion, marginalisation et paupérisation», de la commune rurale. Jeunes, adultes et même des vieillards ont ainsi exprimé leur colère contre «une gestion catastrophique de la commune rurale et l’impunité de ses responsables».
De hauts responsables sécuritaires ont tenté de convaincre les manifestants d’abandonner l’idée de la marche sur Fès, et de constituer un comité de dialogue avec les autorités provinciales à Taza. La population a accepté cette proposition de dialogue, prévue jeudi, à condition que le sit-in continue, en tant que forme de protestation. Toutefois, certaines personnes ont persisté à mettre en application la décision de la marche, ce qui a provoqué quelques frictions sans gravité, selon des témoins sur place. A rappeler que plusieurs commissions d’audit et inspections se sont rendues à cette commune, ces quatre dernières années, suite à des plaintes contre des projets qui n’ont jamais abouti.