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en vue de signaler et visualiser des incidents, des dysfonctionnements ou violations liés à l'opération électorale par différents moyens technologiques, à savoir le SMS, l'e-mail, le Twitter et autres.
Cette plateforme sera gérée par une équipe d'experts, des membres des associations et du réseau des jeunes de l'OMDH, coordonnée par le Bureau national.
Pour les responsables de l’OMDH, cette initiative s'inscrit dans le cadre général des prochaines élections législatives qui seront organisées dans un contexte marqué par la nouvelle Constitution, adoptée en juillet 2011. La loi fondamentale explicite les dispositions claires relatives à la responsabilité des autorités publiques, quant à la transparence et à la régularité de l’opération électorale ainsi qu’à la promotion de la participation des électeurs.
Une action qui intervient après le combat mené par l’OMDH pour l’élargissement du champ d’intervention de la loi 30-11 relative aux conditions et modalités d'observation neutre et indépendante des élections, la garantie de la neutralité et l’objectivité des observateurs et leur indépendance.
Un combat qui ne semble pas de tout repos du fait que la loi, à elle seule, n'est pas suffisante pour lutter contre les fraudes et garantir la transparence des élections. Force est de constater que les TIC ne peuvent tenir leurs promesses que dans un contexte économique, politique et administratif favorable.
Il s'agit alors de tirer des leçons d'une telle expérience en étant conscient que les TIC sont certes des outils efficaces pour la démocratie mais qu'elles ne peuvent en aucun cas lever les contraintes culturelles.