-
Entre assurance aux marchés et pressions de Trump, le président de la Fed sur un fil à Jackson Hole
-
Christine Lagarde : L’accord commercial avec Trump n'a pas "éliminé l'incertitude mondiale"
-
Boualem Sansal, un homme libre
-
Ukraine : La "coalition des volontaires" se réunit sur les suites du sommet Trump-Poutine

L'objectif de ces discussions serait de permettre à Bachar Al-Assad de quitter le pouvoir avec le "minimum d'effusion de sang et de destruction", a indiqué Moaz Alkhatib dans un communiqué.
Le président de la Coalition nationale syrienne avait présenté le mois dernier une proposition d'ouvrir des discussions avec le vice-président syrien Farouk Al Chara au sujet d'un départ du président et si les autorités acceptaient de libérer plusieurs milliers de prisonniers détenus depuis le début du soulèvement il y a 22 mois.
Jeudi, l'Organisation de la coopération islamique (OCI) a appelé à l'ouverture d'un "dialogue sérieux" entre le gouvernement de Damas et l'opposition en vue d'une transition politique en Syrie après deux ans de guerre civile.
Les autorités syriennes n'avaient pas répondu dimanche soir à l'initiative du président de la CNS. Le ministre de l'Information, Amran Al Zoubi, avait réaffirmé vendredi la position du gouvernement en rappelant que l'opposition peut venir à Damas discuter de l'avenir de la Syrie dans le cadre des propositions faites par Assad pour ouvrir un dialogue national.