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Pour diffuser son programme électoral et mobiliser les citoyens, l’USFP a opté pour une stratégie communicationnelle diversifiée combinant les nouvelles technologies et les méthodes traditionnelles.
A l’ère de la mondialisation, un parti politique qui veut convaincre ses électeurs ne peut et ne doit pas se passer des NTIC pour véhiculer son programme politique et électoral notamment auprès d’une jeunesse qui en est friande.
Dans cette optique, l’USFP a créé un portail dédié spécialement à la campagne électorale pour les élections communales et régionales prévues le 4 septembre prochain (http://www.usfp-elections-2015.com/elections-2015 /). Ce portail contient le programme électoral du parti, des documents juridiques, des vidéos et des informations sur la campagne électorale que le Premier secrétaire et les candidats mènent à travers toutes les régions du Royaume. L’on y trouve également des communiqués de soutien aux candidats du parti émanant d’organisations comme l’OSFI et le Syndicat national de l’enseignement (FDT).
Les militants ittihadis ont par ailleurs créé des pages Facebook ou ont consacré leurs pages personnelles à défendre les candidats ittihadis et à diffuser des vidéos et des photos de leurs campagnes.
Si l’efficacité des nouvelles technologies n’est pas à démontrer, cela ne signifie nullement que les méthodes classiques ont perdu de leur efficience. A la différence de NTIC, celles-ci gardent toujours leur efficacité car elles permettent aux candidats d’avoir un contact fructueux et direct avec leurs électeurs. Les meetings organisés par la direction du parti entrent dans ce cadre. A cet effet, le Premier secrétaire du parti, Driss Lachguar, sillonne le pays pour enchaîner les meetings électoraux et appuyer les candidats ittihadis. Depuis le lancement de la campagne électorale samedi dernier, il a rendu visite aux candidats de Berrechid et Midelt et tenu deux meetings à Agadir et à Errachidia. Lesquels ont été couronnés de succès. S’ajoute à cela, la campagne électorale que le parti mène à travers les médias audiovisuels.
Autre méthode classique dont l’efficacité n’échappe à personne, le porte-à-porte permet d’entretenir un contact humain et chaleureux entre les candidats et les citoyens et leur offre la possibilité d’échanger et de débattre directement du programme du parti. Convaincus du bien-fondé de leurs programmes, les candidats du parti de la Rose dans les différentes villes du Royaume n’hésitent pas à recourir à cette technique pour mobiliser les électeurs et les inciter à barrer la route aux corrupteurs et aux corrompus. Conscient de l’efficacité du contact direct avec la population, le Premier secrétaire de l’USFP et d’autres membres du Bureau politique du parti (Mohammed Derouich et Amina Talbi) n’ont pas hésité à battre le pavé pour faire campagne dans la rue alors que des leaders d’autres formations politiques n’ont pas eu le courage de le faire de peur d’être désavoués par la population comme cela a été le cas pour le chef du gouvernement lors du meeting électoral que le PJD a organisé à Taza au début de la semaine en cours.
A l’ère de la mondialisation, un parti politique qui veut convaincre ses électeurs ne peut et ne doit pas se passer des NTIC pour véhiculer son programme politique et électoral notamment auprès d’une jeunesse qui en est friande.
Dans cette optique, l’USFP a créé un portail dédié spécialement à la campagne électorale pour les élections communales et régionales prévues le 4 septembre prochain (http://www.usfp-elections-2015.com/elections-2015 /). Ce portail contient le programme électoral du parti, des documents juridiques, des vidéos et des informations sur la campagne électorale que le Premier secrétaire et les candidats mènent à travers toutes les régions du Royaume. L’on y trouve également des communiqués de soutien aux candidats du parti émanant d’organisations comme l’OSFI et le Syndicat national de l’enseignement (FDT).
Les militants ittihadis ont par ailleurs créé des pages Facebook ou ont consacré leurs pages personnelles à défendre les candidats ittihadis et à diffuser des vidéos et des photos de leurs campagnes.
Si l’efficacité des nouvelles technologies n’est pas à démontrer, cela ne signifie nullement que les méthodes classiques ont perdu de leur efficience. A la différence de NTIC, celles-ci gardent toujours leur efficacité car elles permettent aux candidats d’avoir un contact fructueux et direct avec leurs électeurs. Les meetings organisés par la direction du parti entrent dans ce cadre. A cet effet, le Premier secrétaire du parti, Driss Lachguar, sillonne le pays pour enchaîner les meetings électoraux et appuyer les candidats ittihadis. Depuis le lancement de la campagne électorale samedi dernier, il a rendu visite aux candidats de Berrechid et Midelt et tenu deux meetings à Agadir et à Errachidia. Lesquels ont été couronnés de succès. S’ajoute à cela, la campagne électorale que le parti mène à travers les médias audiovisuels.
Autre méthode classique dont l’efficacité n’échappe à personne, le porte-à-porte permet d’entretenir un contact humain et chaleureux entre les candidats et les citoyens et leur offre la possibilité d’échanger et de débattre directement du programme du parti. Convaincus du bien-fondé de leurs programmes, les candidats du parti de la Rose dans les différentes villes du Royaume n’hésitent pas à recourir à cette technique pour mobiliser les électeurs et les inciter à barrer la route aux corrupteurs et aux corrompus. Conscient de l’efficacité du contact direct avec la population, le Premier secrétaire de l’USFP et d’autres membres du Bureau politique du parti (Mohammed Derouich et Amina Talbi) n’ont pas hésité à battre le pavé pour faire campagne dans la rue alors que des leaders d’autres formations politiques n’ont pas eu le courage de le faire de peur d’être désavoués par la population comme cela a été le cas pour le chef du gouvernement lors du meeting électoral que le PJD a organisé à Taza au début de la semaine en cours.
