Le soutien afflue de partout dans le monde

Messages de solidarité et condamnations ont afflué de partout dans le monde, c’est ainsi qu’au Maroc SM le Roi Mohammed VI a adressé un message de condoléances et de solidarité au président tunisien, Béji Caïd Essebsi, en lui exprimant "la ferme condamnation" du Royaume de cette attaque terroriste et "sa solidarité totale" avec le peuple tunisien frère.
SM le Roi Mohammed VI a, par ailleurs, adressé un message à l'Emir du Koweït, Cheikh Sabah Al-Ahmad Al-Jaber Al-Sabah, dans lequel le Souverain exprime sa totale solidarité avec le Koweït et sa ferme condamnation. 
Le Serviteur des lieux saints, le Roi d’Arabie Saoudite, Salman ben Abdelaziz, a fermement condamné les attentats terroristes ayant frappé, vendredi, une mosquée à Koweït City et un lieu touristique à Sousse en Tunisie.
Les Etats-Unis ont condamné, vendredi, les attentats terroristes qui ont visé la France, la Tunisie et le Koweït en réitérant leur "soutien" et "engagement" à contrer la menace terroriste de par le monde alors que l'Union européenne appelait à une réelle alliance mondiale contre le terrorisme, à la suite de ces dramatiques attentats. 
Le Canada pour sa part a condamné avec fermeté les attaques, tout en soulignant son engagement à lutter contre le terrorisme aux ramifications mondiales qui déchaîne sa violence insensée sur d'innocents civils de l'Europe au Moyen-Orient.
Dans un communiqué du ministère des Relations extérieures, le Chili a condamné "énergiquement", vendredi, les attentats terroristes perpétrés en France, au Koweït et en Tunisie.
Le président gabonais, Ali Bongo Ondimba, a condamné 'avec la plus grande fermeté'' les attentats 'lâches'' et 'odieux'' perpétrés vendredi en France, en Tunisie et au Koweït.
L'Organisation du traité de l'Atlantique nord (Otan), la Turquie, par la voix du président turc Recep Tayyip Erdogan, l’Italie, la France, le Brésil ont unanimement condamné les attentats commis en Tunisie et au Koweït les qualifiant d'"actes terroristes lâches" tandis que l'Espagne exprimait son "horreur et indignation". 
En Espagne justement, le gouvernement a décidé de relever le niveau d'alerte antiterroriste au niveau quatre pour ''risque d'attentat élevé'', suite à la barbarie perpétrée vendredi en France, en Tunisie et au Koweït.  Suite aux attaques terroristes de vendredi, le président du gouvernement espagnol, Mariano Rajoy, a convoqué vendredi une réunion d'urgence des membres du gouvernement et du Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE), principale force de l'opposition, qui s'inscrit dans le cadre du "Pacte d'Etat" conclu, en février dernier, entre le gouvernement et le PSOE pour défendre la liberté et lutter contre le terrorisme, ont précisé des sources gouvernementales. 
Le Pacte gouvernement-PSOE prévoit le contrôle et la lutte contre les discours terroristes diffusés sur les réseaux sociaux appelant au recrutement, au financement et à la participation à des opérations de combat. Il a également pour objectif la coordination des positions sur toute question liée aux actes terroristes.