-
L’économie mondiale promise à des perspectives trop peu rassurantes. Quel impact pour le Maroc ?
-
Mise en avant à Tanger des efforts du Maroc en matière de lutte contre les crimes de blanchiment de capitaux
-
Signature d'un accord d'exemption de visa pour les passeports ordinaires entre le Maroc et l'Azerbaïdjan
-
Série d'entretiens de Nasser Bourita en marge du 15ème sommet islamique
-
Ouverture de l'ambassade du Royaume du Maroc en Gambie
Aujourd’hui, nombre de ces mesures sont en cours de mise en œuvre. Tel est le cas des Sukuks qui seront émis par le Maroc avant le milieu de l'année prochaine. D’après, Mohamed Boussaid, ministre de l’Economie et des Finances, ces nouveaux instruments financiers devraient contribuer au développement de la banque participative en lui permettant, en fonction des besoins, soit de placer ses liquidités, soit de mobiliser des ressources pour financer son activité.
Notre source estime également que l’ouverture des banques participatives est imminente puisque l’introduction de la finance participative consacrera la volonté de faire du Maroc, à travers Casablanca Finance City, un hub financier régional capable d’intégrer ce type de financements.
Ces banques participatives et leurs produits auront-elles un impact sur les banques et les produits classiques ? « Absolument pas. Ces nouvelles banques demanderont beaucoup de temps avant de faire leur place. Leurs produits seront plus chers pour des raisons purement techniques et non pas pour des raisons de marché. En fait, il s’agit de produits nouveaux qui doivent concurrencer ceux qui sont déjà sur le marché », nous a répondu Hicham Attouch. Et de conclure : « Donc, il ne faut s’attendre à une performance extraordinaire de ces banques lors des deux premières années de leurs mise sur le marché ».