Autres articles
-
Le cinéma marocain s'invite à Manille
-
Le violoncelliste français Aurélien Pascal en concert à Dar Adiyel
-
12 nouvelles fresques murales prennent forme dans divers quartiers de Rabat
-
Entre ambition artistique et controverses culturelles
-
"Le Verre de l’amitié", Grand Prix du Festival international cinéma et migration d'Utrecht
Le Grand prix de la 1ère édition du Festival international des écoles de cinéma (FIDEC) a été décerné, jeudi dernier à Tétouan, au film hongrois "Hatar" (frontières), de Sazko Mathias.
Le prix du public est revenu au film marocain "Ya Snina", des réalisateurs Omar Tajmouti et Karim Ouamou du master de cinéma documentaire, relevant de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil.
Quant au prix des droits de l'Homme de cette édition, initié à la mémoire du cinéaste et romancier marocain, Ahmed Bouanani, il a été attribué au film hongrois "2ème étage" de Chour Hajni de l'université de théâtre, de film et de l'art de Budapest alors que le prix de l'innovation a été décerné au film anglais "Nasty port" (port dégoûtant), de Rob Zywietz.
Le prix du meilleur film marocain est revenu par contre à "Wachmen hal" (quelle situation), de Salim Aki de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil, alors que le film "Every time in wich she says goodbye" (à chaque fois qu'elle dit au revoir), de Chao Liang, s'est vu attribuer le prix Spécial du jury. La cérémonie de clôture du festival a été marquée par de vibrants hommages rendus à des figures ayant contribué à la création de la formation cinématographique à la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil, dont le réalisateur Jilali Ferhati, l'artiste peintre Bouzid Bouâbid, l'artiste Hassan Echair, le critique de cinéma Khalil Damoun, président de l'Université Abdelmalek Esaâdi, Hodaifa Ameziane, et au directeur du festival Hamid Aidouni.
Intervenant à cette occasion, le doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil, Saad Zemmouri, a assuré que cette manifestation culturelle constitue une plateforme de rencontres et d'échanges dédiée aux jeunes venus des quatre coins de la planète et issus de cultures différentes, et vise à promouvoir les œuvres des jeunes créateurs qu'ils soient issus d'écoles de cinéma, d'universités ou d'instituts de formation aux métiers de l'image. Notons enfin que cet événement culturel, organisé par la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil et l'Association Bidayat, en partenariat avec des organismes marocains et étrangers, a été ponctué d'une programmation riche et diversifiée, notamment l'organisation des rencontres professionnelles et des Master class autour des œuvres cinématographiques.
Quant au prix des droits de l'Homme de cette édition, initié à la mémoire du cinéaste et romancier marocain, Ahmed Bouanani, il a été attribué au film hongrois "2ème étage" de Chour Hajni de l'université de théâtre, de film et de l'art de Budapest alors que le prix de l'innovation a été décerné au film anglais "Nasty port" (port dégoûtant), de Rob Zywietz.
Le prix du meilleur film marocain est revenu par contre à "Wachmen hal" (quelle situation), de Salim Aki de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil, alors que le film "Every time in wich she says goodbye" (à chaque fois qu'elle dit au revoir), de Chao Liang, s'est vu attribuer le prix Spécial du jury. La cérémonie de clôture du festival a été marquée par de vibrants hommages rendus à des figures ayant contribué à la création de la formation cinématographique à la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil, dont le réalisateur Jilali Ferhati, l'artiste peintre Bouzid Bouâbid, l'artiste Hassan Echair, le critique de cinéma Khalil Damoun, président de l'Université Abdelmalek Esaâdi, Hodaifa Ameziane, et au directeur du festival Hamid Aidouni.
Intervenant à cette occasion, le doyen de la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil, Saad Zemmouri, a assuré que cette manifestation culturelle constitue une plateforme de rencontres et d'échanges dédiée aux jeunes venus des quatre coins de la planète et issus de cultures différentes, et vise à promouvoir les œuvres des jeunes créateurs qu'ils soient issus d'écoles de cinéma, d'universités ou d'instituts de formation aux métiers de l'image. Notons enfin que cet événement culturel, organisé par la Faculté des lettres et des sciences humaines de Martil et l'Association Bidayat, en partenariat avec des organismes marocains et étrangers, a été ponctué d'une programmation riche et diversifiée, notamment l'organisation des rencontres professionnelles et des Master class autour des œuvres cinématographiques.