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Les dirigeants du parti vainqueur des élections d'octobre 2016 étaient réunis à huis clos en session extraordinaire à Salé pour décider de la ligne à suivre dans les négociations en vue de doter le Royaume d'un gouvernement.
Cette réunion fait suite aux «nouvelles évolutions» qu'a connues la vie politique marocaine, notamment la mise à l'écart d’Abdelilah Benkirane, mercredi par le Souverain et son remplacement vendredi par le numéro deux du PJD.
Dans une déclaration à la presse peu avant l'ouverture des travaux, ce dernier a exprimé sa fierté d'être nommé par le Souverain en tant que chef de gouvernement, soulignant que cette nomination «est un honneur qui requiert une lourde responsabilité, dans une conjoncture politique particulière avec de grandes attentes»
Quant au secrétaire général du PJD, Abdelilah Benkirane, il a souligné que le parti a décidé d'interagir positivement avec la décision de S.M le Roi de nommer une autre personnalité du parti pour la formation du gouvernement.
Dans un communiqué lu devant la presse samedi au soir à l'issue de cette réunion, le PJD s'est «félicité du choix du Souverain de nommer une personnalité issue du PJD», affirmant son soutien au nouveau chef du gouvernement désigné et appelant à accélérer la mise en place d'une majorité gouvernementale, pour un «gouvernement fort, homogène et efficace».
Il a également précisé que celui-ci doit « bénéficier de la confiance du Souverain » et « être fort, harmonieux et efficient, dans le respect des dispositions de la Constitution, du choix démocratique et de la volonté populaire exprimée lors des dernières législatives ».
Le Conseil national a également « délégué, au secrétaire général du parti, la prise de l’ensemble des décisions pour accompagner les consultations du chef de gouvernement désigné, dans le cadre de la méthodologie exprimée par le parti et les donnes qui vont résulter des rounds de négociations ».