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Côté européen, 41 artistes représentant 14 pays différents de l'UE seront présents lors de cette édition, tandis que du côté marocain, l'accent a été mis sur différentes facettes de l'identité musicale (guitare, oud, gnaoua, etc)
«Le festival évolue. Désormais, il y a une véritable identité du jazz liée au Chellah», souligne Jean-Pierre Bissot.
Le Festival «Jazz au Chellah» est organisé depuis 1996 par la délégation de l'Union européenne au Maroc avec les ambassades et Instituts culturels des Etats membres en partenariat avec le ministère de la Culture, la wilaya de Rabat-Salé.
Chaque édition du festival est ainsi l'occasion d'un dialogue interculturel entre musiciens européens et marocains qui ne se limite pas au cadre de «Jazz au Chellah» mais qui donne ensuite naissance à de nouveaux bands et à de nouvelles collaborations musicales entre les artistes.
L'édition 2011, qui a mis la jeunesse marocaine à l'honneur avec notamment la présence de Nabyla Maan et de Tarik Hilal a également consacré le métissage entre le jazz européen et la musique traditionnelle marocaine (Toine Thys band et Farid Mayara, Pino Minafra et Mahmoud Guinéa, Soren Bebe et Faïz Lamouri).
Près de 1500 spectateurs ont afflué chaque jour pour assister aux représentations faisant du «Jazz au Chellah», un incontournable des festivals rbatis.
Nul doute que la 17e édition, qui selon les directeurs artistiques, s'annonce «tendre» et qui «redonnera sa place à l'humain», saura une nouvelle fois tenir ses promesses et promouvoir les échanges interculturels entre les deux rives de la Méditerranée.