-
Avec l'usine islandaise Mammoth, le captage de CO2 dans l'air passe la seconde
-
L'intelligence artificielle pourrait favoriser la démocratisation des appareils d'IRM
-
Au Kenya, l'opiniâtre travail de sauvegarde des rapaces, menacés d'extinction
-
Un bébé né sourd entend grâce à la thérapie génique
-
Dans les parcs nationaux, réparer la blessure des Amérindiens
Sur 1031 sujets initiaux, le scientifique a retenu les cas de ceux ayant les plus faibles taux de lycopène et de ceux ayant au contraire les taux les plus élevés. Résultats : chez les premiers, 25 hommes parmi 258 ont eu un accident vasculaire cérébral (AVC) durant la période d’étude, contre 11 sur 259 chez les seconds, soit 59% de moins de chances d’être atteint. Les résultats ont même été encore plus probants quand les chercheurs n’ont pris en compte que les AVC provoqués par un caillot sanguin, et non par une hémorragie.
“Cette étude s’ajoute aux preuves qu’une alimentation riche en fruits et légumes est associée à un moindre risque d’accident vasculaire cérébral. Les résultats appuient la recommandation que les gens consomment plus de cinq portions de fruits et légumes par jour, ce qui serait susceptible d’entraîner une réduction importante du nombre d’AVC dans le monde”, conclut Jouni Karppi cité par Science Daily.
Ajouté à cela, l’étude s’est aussi penchée sur les taux dans le sang des antioxydants alpha-carotène, béta-carotène, alpha-tocophérol (une forme de vitamine E) et la vitamine A (rétinol), et n’a trouvé aucun lien, quel que soit leur niveau, avec une diminution du risque de congestion cérébrale.