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La poésie, ou "izzrane" comme on l'appelle dans le Rif, était jadis une forme d'expression très courante, particulièrement prisée par les femmes de la région, a affirmé, vendredi à Al Hoceima, le président de l'Association Izzrane Al Hoceima, Naoufal Belhadj.
A côté des fêtes saisonnières et des cérémonies nuptiales, la poésie était une forme d'expression très présente dans le quotidien de la population locale, et constituait un moyen de transmettre les valeurs et les règles de la vie en commun aux jeunes générations, a souligné M. Belhadj à l'ouverture des ateliers de formation sur la poésie rifaine, tenus sous le signe "Izzran, entre hier et aujourd'hui".
Cette manifestation a pour objectifs de contribuer à la préservation et à la promotion du patrimoine culturel matériel et immatériel dans la région du Rif, en particulier à Al Hoceima, de faire connaître la poésie d'expression amazighe et les différentes formes d'expression qui sont liées (danses, rythmes, accessoires, instruments, etc.), et d'améliorer les connaissances et les capacités des jeunes talents en matière de poésie amazighe, a-t-il dit.
Les participants à cet atelier d'ouverture, qui ont été unanimes à souligner la nécessité de sauvegarder ce patrimoine faisant partie intégrante de la mémoire nationale, ont appelé les acteurs du champ culturel, y compris la société civile et les responsables locaux, à multiplier les efforts afin de sauvegarder cette forme d'expression authentique.
Organisé du 22 au 24 mars en partenariat avec l'Institut Royal de la culture amazighe (IRCAM) et la région de Taza-Al Hoceima-Taounate-Guercif, cet événement a été marqué par la tenue d'une série d'ateliers sur "L'écriture poétique amazighe et la création artistique", "La composition des mélodies" et "La danse traditionnelle", en plus d'une exposition photographique sur la tenue vestimentaire traditionnelle de la femme rifaine.
A côté des fêtes saisonnières et des cérémonies nuptiales, la poésie était une forme d'expression très présente dans le quotidien de la population locale, et constituait un moyen de transmettre les valeurs et les règles de la vie en commun aux jeunes générations, a souligné M. Belhadj à l'ouverture des ateliers de formation sur la poésie rifaine, tenus sous le signe "Izzran, entre hier et aujourd'hui".
Cette manifestation a pour objectifs de contribuer à la préservation et à la promotion du patrimoine culturel matériel et immatériel dans la région du Rif, en particulier à Al Hoceima, de faire connaître la poésie d'expression amazighe et les différentes formes d'expression qui sont liées (danses, rythmes, accessoires, instruments, etc.), et d'améliorer les connaissances et les capacités des jeunes talents en matière de poésie amazighe, a-t-il dit.
Les participants à cet atelier d'ouverture, qui ont été unanimes à souligner la nécessité de sauvegarder ce patrimoine faisant partie intégrante de la mémoire nationale, ont appelé les acteurs du champ culturel, y compris la société civile et les responsables locaux, à multiplier les efforts afin de sauvegarder cette forme d'expression authentique.
Organisé du 22 au 24 mars en partenariat avec l'Institut Royal de la culture amazighe (IRCAM) et la région de Taza-Al Hoceima-Taounate-Guercif, cet événement a été marqué par la tenue d'une série d'ateliers sur "L'écriture poétique amazighe et la création artistique", "La composition des mélodies" et "La danse traditionnelle", en plus d'une exposition photographique sur la tenue vestimentaire traditionnelle de la femme rifaine.