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Des professionnels du cinéma marocains et espagnols ont souligné, samedi à Tanger, que le Maroc et l’Espagne partagent une culture commune enracinée dans l’histoire, qui devrait être valorisée, à travers notamment la promotion de la coproduction cinématographique.
Lors d’une table-ronde sous le thème “Maroc-Espagne : coproduire, une responsabilité historique”, tenue en marge du 16ème Festival national du film, les intervenants ont estimé que la coopération dans le domaine du cinéma entre le Maroc et l’Espagne est une “responsabilité historique”, appelant les autorités publiques et les acteurs de l’industrie cinématographique des deux pays à “prendre au sérieux cette responsabilité”.
Déplorant le nombre faible de films coproduits par le Maroc et l’Espagne, qui n’ont pas dépassé 7 films durant les 17 dernières années, ainsi que la méconnaissance mutuelle des cinémas des deux pays, ils ont plaidé pour encourager la production cinématographique maroco-espagnole et contribuer ainsi à la correction de “nos images communes séquestrées par les stéréotypes”.
Intervenant à cette occasion, le producteur espagnol, directeur de la société “Tornasol Films”, Gerardo Herrero, a mis l’accent sur l’importance de rapprocher les visions et les liens des deux pays dans le domaine cinématographique, citant, à cet égard, l’exemple du programme de coproduction “Ibermédia” qui a permis, selon lui, de fructifier la coopération dans le 7ème art entre l’Espagne et l’Amérique Latine, en coproduisant une centaine de films.
Pour sa part, le directeur général de la Fondation SGAE, Xosé Luis Canido, a mis en exergue le rôle du cinéma dans la compréhension mutuelle entre les deux pays, l’appelant à hisser leur coopération dans les domaines culturel et cinématographique aux plus hauts niveaux, à l’instar de leur partenariat économique avancé, notamment dans l’agriculture et la pêche.
“L’Espagne peut être une porte d’entrée cinématographique pour le Maroc vers l’Amérique Latine, qui représente un marché potentiel de 500 millions de spectateurs”, a-t-il estimé, notant en parallèle que “le Maroc peut à son tour constituer une porte attractive pour l’Espagne vers le monde arabe”.
Lors d’une table-ronde sous le thème “Maroc-Espagne : coproduire, une responsabilité historique”, tenue en marge du 16ème Festival national du film, les intervenants ont estimé que la coopération dans le domaine du cinéma entre le Maroc et l’Espagne est une “responsabilité historique”, appelant les autorités publiques et les acteurs de l’industrie cinématographique des deux pays à “prendre au sérieux cette responsabilité”.
Déplorant le nombre faible de films coproduits par le Maroc et l’Espagne, qui n’ont pas dépassé 7 films durant les 17 dernières années, ainsi que la méconnaissance mutuelle des cinémas des deux pays, ils ont plaidé pour encourager la production cinématographique maroco-espagnole et contribuer ainsi à la correction de “nos images communes séquestrées par les stéréotypes”.
Intervenant à cette occasion, le producteur espagnol, directeur de la société “Tornasol Films”, Gerardo Herrero, a mis l’accent sur l’importance de rapprocher les visions et les liens des deux pays dans le domaine cinématographique, citant, à cet égard, l’exemple du programme de coproduction “Ibermédia” qui a permis, selon lui, de fructifier la coopération dans le 7ème art entre l’Espagne et l’Amérique Latine, en coproduisant une centaine de films.
Pour sa part, le directeur général de la Fondation SGAE, Xosé Luis Canido, a mis en exergue le rôle du cinéma dans la compréhension mutuelle entre les deux pays, l’appelant à hisser leur coopération dans les domaines culturel et cinématographique aux plus hauts niveaux, à l’instar de leur partenariat économique avancé, notamment dans l’agriculture et la pêche.
“L’Espagne peut être une porte d’entrée cinématographique pour le Maroc vers l’Amérique Latine, qui représente un marché potentiel de 500 millions de spectateurs”, a-t-il estimé, notant en parallèle que “le Maroc peut à son tour constituer une porte attractive pour l’Espagne vers le monde arabe”.