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Ouvert le vendredi 1er mai, le Festival national de l’art du Malhoun qui se poursuit jusqu’au 9 courant à Fès, célèbre déjà sa 13ème édition, laquelle est initiée par la commune urbaine de Fès, en partenariat avec la Fondation du patrimoine de Fès sous le thème « L’art du Mahoun : la mémoire du patrimoine ».
Pour le grand bonheur des spectateurs, l’orchestre ’’Achyakh Al Malhoun de Fès’’ s’est produit le jour d’ouverture, sur scène au parc mythique Jenane S’bil, déclamant ainsi des chants religieux mais aussi des Q’sidas qui relatent des épisodes souvent d’amour puisés dans l’environnement immédiat de la population locale.
Au sein du parc Princesse Lalla Amina qui n’a rien à envier au premier, s’est déroulé le spectacle de la deuxième journée, lequel spectacle animé par l’orchestre Al Malhoun de Fès, a séduit les spectateurs par des chants issus des répertoires. « Dans le cadre de la sauvegarde des trésors patrimoniaux de la cité idrisside, cette fois-ci, on intervient via cet événement qui vise à perpétuer cet art ancestral fort enraciné, dans le paysage socioculturel des Marocains, mais qui risque aujourd’hui de succomber aux vicissitudes du temps et tomber par la suite dans l’oubli et l’abandon », nous indique Essaïd Ben Amar Amrani, chef de la division culturelle et des relations internationales au sein de la commune urbaine de Fès. Et de poursuivre : «Pour promouvoir cet art, nous avons invité des orchestres de Malhoun d’une grande renommée qui se produiront devant le public ainsi que des chercheurs pour animer des débats scientifiques ».
Le programme, prévoit des soirées animées par des orchestres de Malhoun d’envergure, venus de différentes villes du Royaume, aux côtés d’orchestres masculins. Cette édition se caractérise aussi par la présence d’un orchestre féminin et d’un autre composé de jeunes talents.
Au menu de ce programme figure également une journée d’étude intitulée « L’impact du Malhoun sur les autres arts du patrimoine marocain». Elle sera animée par l’éminent chercheur Abbas El Jirari. Le public aura rendez-vous, entre autres, avec une pièce théâtrale inspirée du Malhoun, sans oublier la signature de l’ouvrage intitulé « Des études sur l’art malhoun » par son auteur Abdelouahab Filali.
Pour le grand bonheur des spectateurs, l’orchestre ’’Achyakh Al Malhoun de Fès’’ s’est produit le jour d’ouverture, sur scène au parc mythique Jenane S’bil, déclamant ainsi des chants religieux mais aussi des Q’sidas qui relatent des épisodes souvent d’amour puisés dans l’environnement immédiat de la population locale.
Au sein du parc Princesse Lalla Amina qui n’a rien à envier au premier, s’est déroulé le spectacle de la deuxième journée, lequel spectacle animé par l’orchestre Al Malhoun de Fès, a séduit les spectateurs par des chants issus des répertoires. « Dans le cadre de la sauvegarde des trésors patrimoniaux de la cité idrisside, cette fois-ci, on intervient via cet événement qui vise à perpétuer cet art ancestral fort enraciné, dans le paysage socioculturel des Marocains, mais qui risque aujourd’hui de succomber aux vicissitudes du temps et tomber par la suite dans l’oubli et l’abandon », nous indique Essaïd Ben Amar Amrani, chef de la division culturelle et des relations internationales au sein de la commune urbaine de Fès. Et de poursuivre : «Pour promouvoir cet art, nous avons invité des orchestres de Malhoun d’une grande renommée qui se produiront devant le public ainsi que des chercheurs pour animer des débats scientifiques ».
Le programme, prévoit des soirées animées par des orchestres de Malhoun d’envergure, venus de différentes villes du Royaume, aux côtés d’orchestres masculins. Cette édition se caractérise aussi par la présence d’un orchestre féminin et d’un autre composé de jeunes talents.
Au menu de ce programme figure également une journée d’étude intitulée « L’impact du Malhoun sur les autres arts du patrimoine marocain». Elle sera animée par l’éminent chercheur Abbas El Jirari. Le public aura rendez-vous, entre autres, avec une pièce théâtrale inspirée du Malhoun, sans oublier la signature de l’ouvrage intitulé « Des études sur l’art malhoun » par son auteur Abdelouahab Filali.