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La classe préscolaire est un lieu privilégié où l’enfant se divertit tout en développant ses aptitudes sociales, cognitives et sensorielles. Elle constitue aussi le premier pas de l’enfant dans la vie de groupe, et est une base pour sa réussite à l’école primaire. Telles sont en substances quelques-unes des observations de la Fondation Zagoura qui œuvre pour la généralisation d’un préscolaire gratuit et de qualité.
« Le préscolaire est le fondement du développement de nos enfants qui leur permettra d’avoir une scolarité durable et les mettra en capacité d’apprendre et de comprendre», souligne le président de cette ONG marocaine, Jamal Belahrach, relevant l’énorme déficit en préscolaire observé au Maroc.
Un défit que la Fondation Zagoura tente de relever à travers un programme d’éducation préscolaire des enfants en milieu rural, « ANEER » (Action nationale pour l’éducation de la petite enfance en zone rurale), dont la campagne a été lancée en avril dernier.
Inscrite dans la continuité des actions menées précédemment par cette institution, cette campagne vise à mettre en place 500 écoles de préscolaire au profit de 50.000 enfants de familles défavorisées à l’horizon 2017.
« Ce programme est une chance pour les enfants des régions les plus marginalisées de bénéficier d’une éducation préscolaire de deux ans qui est une étape primordiale pour l’éveil et le développement de l’enfant âgé de 4 à 6 ans », assure la Fondation dans son dernier bulletin d’information.
C’est dans ce cadre qu’une première opération a donc été menée en avril denier. Elle a permis d’ouvrir 20 écoles couvrant sept provinces au profit de près de 1400 enfants, explique-t-on.
La Fondation, qui entend participer à l’amélioration de l’offre éducative au Maroc a ainsi développé un modèle de préscolaire en milieu rural, en partenariat avec l’Unicef et un programme aux normes internationales mettant l’accent sur la sensibilisation des parents à travers notamment la création d’un kit pour les mamans. L’objectif étant d’accroître leur implication dans l’éducation de leurs enfants et permettre à plus long terme une pérennisation de ce projet.
L’Etat ne pouvant à lui seul relever un tel défit, Jamal Belahrach estime que « les parties prenantes telles les ONG, les bailleurs de fonds nationaux et internationaux ainsi que le secteur privé doivent apporter leur concours pour lutter contre la fracture éducative». Ce que tente déjà de faire la Fondation dont il a la charge.
A ce propos, notons qu’à l’horizon 2016, la Fondation Zagoura s’est engagée à préscolariser 10.000 enfants par la création de 100 nouvelles écoles et le renforcement de 50 structures déjà existantes.
Il est à souligner que la Fondation Zagoura œuvre depuis 18 ans en faveur du développement humain par le biais de l’éducation des enfants, l’employabilité des jeunes et l’autonomisation des femmes. Elle compte à ce jour plus de 400 écoles créées au profit de plus de 130.000 personnes.
En mai dernier, un hommage lui avait été rendu, en reconnaissance de ses efforts en faveur de l’éducation en termes d’accès et de qualité. C’était en marge de la conférence de la « Cliton global initiative » tenue à Marrakech.
« Le préscolaire est le fondement du développement de nos enfants qui leur permettra d’avoir une scolarité durable et les mettra en capacité d’apprendre et de comprendre», souligne le président de cette ONG marocaine, Jamal Belahrach, relevant l’énorme déficit en préscolaire observé au Maroc.
Un défit que la Fondation Zagoura tente de relever à travers un programme d’éducation préscolaire des enfants en milieu rural, « ANEER » (Action nationale pour l’éducation de la petite enfance en zone rurale), dont la campagne a été lancée en avril dernier.
Inscrite dans la continuité des actions menées précédemment par cette institution, cette campagne vise à mettre en place 500 écoles de préscolaire au profit de 50.000 enfants de familles défavorisées à l’horizon 2017.
« Ce programme est une chance pour les enfants des régions les plus marginalisées de bénéficier d’une éducation préscolaire de deux ans qui est une étape primordiale pour l’éveil et le développement de l’enfant âgé de 4 à 6 ans », assure la Fondation dans son dernier bulletin d’information.
C’est dans ce cadre qu’une première opération a donc été menée en avril denier. Elle a permis d’ouvrir 20 écoles couvrant sept provinces au profit de près de 1400 enfants, explique-t-on.
La Fondation, qui entend participer à l’amélioration de l’offre éducative au Maroc a ainsi développé un modèle de préscolaire en milieu rural, en partenariat avec l’Unicef et un programme aux normes internationales mettant l’accent sur la sensibilisation des parents à travers notamment la création d’un kit pour les mamans. L’objectif étant d’accroître leur implication dans l’éducation de leurs enfants et permettre à plus long terme une pérennisation de ce projet.
L’Etat ne pouvant à lui seul relever un tel défit, Jamal Belahrach estime que « les parties prenantes telles les ONG, les bailleurs de fonds nationaux et internationaux ainsi que le secteur privé doivent apporter leur concours pour lutter contre la fracture éducative». Ce que tente déjà de faire la Fondation dont il a la charge.
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Il est à souligner que la Fondation Zagoura œuvre depuis 18 ans en faveur du développement humain par le biais de l’éducation des enfants, l’employabilité des jeunes et l’autonomisation des femmes. Elle compte à ce jour plus de 400 écoles créées au profit de plus de 130.000 personnes.
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