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Il suffit, insiste-t-il, de faire une tournée au niveau de certains quartiers pointés du doigt et des souks connus pour ce type de viande, comme par exemple, Souk « Sbite », « Had Soualem », « Khmis Médiouna », « Bouskoura » ou « Ain Harouda » pour s’en rendre compte. Il ajoute, non sans colère, que « la viande issue de l’abattage clandestin pose un sérieux problème. Des individus qui vendent ce type de viande, on les voit partout. Et les autorités chargées du contrôle n’assument pas leur mission». Ce dernier, qui est également président de l’Association nationale des chevillards, a confié à Libé que dans lesdits souks, les abattages se font à 2h - 3h du matin en l’absence de vétérinaires ou de techniciens. Pourtant, affirme-t-il, « ces viandes arrivent sur le marché casablancais avec un cachet attestant qu’elles ont fait l’objet d’un contrôle vétérinaire. Ce qui est absolument faux».